COLONISATION, LA HAINE DES IGNARES. MACRON AU SOMMET DE LA BÊTISE.

08/03/2017 07:30

DR LOUIS MELENNEC. COLONISATION, LA HAINE DES IGNARES. MACRON AU SOMMET DE LA BÊTISE.
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LA COLONISATION EST UN PHENOMENE UNIVERSEL, EN AUCUN CAS UNE INVENTION OCCIDENTALE. LES HONTEUSES MANIPULATIONS, EMANANT D'AUTHENTIQUES IGNARES, DEBILES MENTAUX ET IDEOGRAPHES, strictement ignorants de l'histoire des peuples des nations et du monde, continuent à déverser leurs sottises sur la France et les pays occidentaux.
(Extraits d'une lettre de Louis Mélennec).


IL Y A EU COLONISATION ET COLONISATION. LA BRETAGNE EST TOUJOURS UNE COLONIE. L'AFRIQUE et l'Algérie sont DECOLONISEES DEPUIS 1962, et totalement en ruines. C'est cela que  CE PETIT CON DE MACRON avait le devoir de dire à Alger, et d'exhorter ses dirigeants à demander pardon, à genoux, aux Algériens et aux peuples qu'ils colonisent - notamment les Kabyles et les Touaregs - pour le mal abyssal qu'ils ont fait à ces peuples, en tous points dans la même situation coloniale que la Polynésie et que la Bretagne.

Il se trouve que j'ai été lié d'amitié avec une famille dans ce pays africain dont est originaire ce monsieur dont vous me parlez dans votre lettre, et qui souhaite me rencontrer. Le chef de cette famille était à l'époque ambassadeur dans l'un des deux plus grands pays du monde.

Dans le contexte d'un discours falsifié par la haine, plus encore par  l'ignorance crasse des journaleux français, c'est la confiance que je lui inspirais qui l'a décidé à me parler vrai. C'était en 1975. Je ne dirai ni son nom, ni rien qui puisse l'identifier : même plus de trente ans plus tard, j'exposerais ses descendants à des dangers. Car ainsi sont tous les régimes - sans aucune exception -, que la France a mis en place, et laissé derrière elle, lors de la décolonisation : des dictatures corrompues, c'est-à-dire à son image.

Par cet ambassadeur, qui fut aussi ministre, j'ai eu le témoignage précis de l'invraisemblable chaos de son pays, la corruption et l'incompétence du pouvoir après le départ de la France, en 1962 : du Hollande + Ayrault, 40 ans avant la lettre ! La presse de l'époque n'était pas seulement silencieuse, elle accusait chaque jour nos pays, pour les enfoncer et les détruire davantage.  

Cet homme avait presque les larmes aux yeux, lorsqu'il évoquait "la bonne conscience des administrateurs coloniaux français" (sic) : j'ai retenu cette phrase par coeur : elle était un éclairage brutal, qui détruisait d'un coup le discours empoisonné et débile que des journaux comme l'Immonde déversaient sur la France, culpabilisant et déprimant nos pays, dans une falsification incroyable de la réalité, qui était en réalité extrêmement nuancée et diverse.  

Et cela m'a soulagé, car moi aussi, scrupuleux comme je suis, je me sentais coupable de ce crime collectif que des ignares faisaient peser sur nous, d'un poids accablant.

Avec cette phrase incroyable, à la fin de notre entretien  : "si un vote intervenait en faveur du retour de la France dans mon pays, 95 pour 100 de la population voterait pour le retour de la France."

Ce que je dis là est vrai.

Au Maroc, j'ai entendu le même discours : "Tout marchait ici, du temps de la France; aujourd'hui, plus un train n'est à l'heure". Et même davantage : la France était res-pec-tée. Le roi Hassan II à dit : "Le maréchal Lyautey a aimé le Maroc davantage que nombre de mes compatriotes".

Je me proposais de dire tout cela le moment venu, publiquement. Mais les merdias sont achetés : le jour commence à peine à poindre où de tels propos peuvent être crus par une population esclavagisée et abêtie.

J'ai alors vu clair dans l'entreprise de démolition dont la France était victime, de la part de ces merdias menteurs et ignares, qui opèrent toujours, plus néfastes que jamais, en 2017.

CONCLUONS : il y a eu colonisation et colonisation. La colonisation française a détruit la Bretagne, dès 1532, année de l'annexion, mais surtout à partir de 1789, année de la "découverte" par la France de la Liberté (sic), et des Droits de l'homme (resic !). En revanche, certains pays ont tiré de grands bénéfices d'une colonisation intelligente. Y compris par la France. L'honnêteté stricte oblige à le dire, à plus forte raison à cause de l'énorme contentieux franco-breton, et les complicités de la France en Bretagne, ce qui nous oblige à être exemplaires dans nos affirmations.

L' histoire doit être reconstruite. Pour la Bretagne, c'est fait, par le Livre bleu, connu maintenant dans plus de cent pays (Google : Livre bleu de la Bretagne) . LUGAN et d'autres s'y emploient pour l'Afrique, évidemment honnis et détestés par les menteurs et les jaloux, ces nostalgiques des cent millions de victimes innocentes du marxisme, toujours non jugé. Dernier livre de LUGAN : Osons dire la vérité à l'Afrique, Paris, 2015, éditions du Rocher.

Honte aux collabos et aux kapos Bretons. Le Livre bleu de la Bretagne circule maintenant en Russie, en Ukraine, dans les cent pays touchés par la Voix de la Russie;  dans plusieurs pays d'Afrique, notamment en Algérie berbère, en Kabylie, en Mauritanie, en pays touareg ... Des correspondances du monde me parviennent : nous avons touché au but.

Les journaleux de l'Immonde reçoivent la présente. Ils sont en possession du Livre Bleu de la Bretagne.Mais leur métier est de se taire sur des faits aussi honteux.

Tous peuvent lire un résumé par le lien qui suit : Histoire de la Bretagne pour les nuls et les collabos :

https://blog-louis-melennec.fr/2017/01/11/histoire-de-la-bretagne-pour-les-nuls-et-les-collabos/


Il y a pire que tout cela : la plupart des pays Africains et arabes sont actuellement en authentique situation coloniale : le pouvoir est entre les mains de clans, de tribus, de groupes ethniques, qui se partagent tous les postes, toutes les prébendes, et qui oppriment ceux qui ne sont pas de leurs races. Comme les socialistes en France, dont personne ne veut plus.


Dr LOUIS MELENNEC, breton, ex-consultant près le Médiateur de la république.

Nota bene : le bon docteur est sur une liste noire en France : son nom seul est éradiqué par le pays des droits de l'homme. En Bretagne aussi : la presse de la collaboration, et ses complices sont entièrement "subventionnés" par l'Etat colonial, et ne survivent que par lui. Leur mot d'ordre commun : "Trompe qui peut".

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