Droit des nations minoritaires, auteur Louis Mélennec

05/03/2015 23:14

De Louis Mélennec

Je vous propose un projet de DECLARATION COMMUNE, auxquels adhèreront ceux qui voudront y adhérer. Elle pourra être modifiée pour y inclure les Alsaciens, les Savoyards et Niçois, les Basques, les Corses, les Flamands.
Cette déclaration n'est pas née dans mon cerveau : c'est une énumération de NOS DROITS, tels qu'ils sont définis par l'espèce humaine évoluée.
Nous savons très bien que l'instinct destructeur de certains de nos compatriotes va les pousser, alors même que ces principes sont établis et ne dépendent pas de nous, mais qu'ils sont l'expression du droit, vont évidemment y faire obstruction, comme d'habitude. Mais la majorité de nos jeunes a maintenant accédé à la majorité politique, très affirmée encore.

DECLARATION COMMUNE DES NATIONS INCLUSES SANS LEUR CONSENTEMENT DANS L'HEXAGONE "FRANCAIS".

1 - La BRETAGNE EST UNE NATION BEAUCOUP PLUS ANTIQUE QUE LA FRANCE.

2- C'est par un abus de droit MONSTRUEUX, et de plus RIDICULE, que la France, USANT DE LA FORCE et faisant violence au droit des peuples et des consciences, a prétendu interdire aux Bretons de s'intituler Nation. Le peuple breton est décrit en long, en large et en travers par les auteurs de l'antiquité, en particulier Jules CESAR. La nation française ne commence à exister qu'à partir du 12ème siècle, au plus tôt.

3 - Une nation ne se crée ni par la loi, ni par la violence : ELLE EXISTE OU N'EXISTE PAS, UN POINT, C'EST TOUT.
La France actuelle est en déliquescence, PAR LA FAUTE DE SA GOUVERNANCE EXECRABLE et INCOMPETENTE, au détriment catastrophique et douloureux des Français.

3 - En 1789, violences sur violences leur étant faites, les représentants Bretons ont protesté avec une extrême énergie contre les crimes de LESE-NATION commis par la France à l'encontre de Notre Pays et de nos Institutions séculaires.
En 1793 et en 1794, un génocide a été perpétré par les armées françaises, sur ordre de Paris, en Bretagne et en Vendée. Cette qualification de crimes reste tout-à-fait d'actualité. La Bretagne en tirera les conséquences lorsqu'elle aura récupéré la totalité des droits nationaux et internationaux.

4 - Les droits des nations - fussent-t-elles minoritaires - ce qui n'est pas le cas pour la Bretagne, qui est majoritaire chez elle - sont très clairement définis par le droit européen, le droit international, les principes généraux du droit. Faisant partie des principes fondamentaux de l'espèce humaine, ils s'imposent à tous. LA FRANCE, QUI VIOLE CES PRINCIPES QUOTIDIENNEMENT en Bretagne, au Pays basque, en Corse, en Savoie et à Nice, est hors la loi, et passible de sanctions internationales graves, qui tôt ou tard lui seront appliquées. L'ONU, l'Unesco et autres institutions ont été saisies de longue date de ces violations, et ont donné raison aux plaignants. L'un des crimes les plus graves à l'encontre de ces Nations incluses dans l'hexagone "français" : la destruction, l'éradication méthodique de langues anciennes, place les responsables de ces destructions au rang des barbares qui viennent de détruire les trésors de l'Assyrie à Mossoul.

5 - Les droits incontournables des Nations telles que définies par le droit international sont les suivants :

Les hommes et les femmes qui composent ces Nations ont un droit imprescriptible à leur langue, à leurs coutumes, à leurs usages, à leur culture, à l'enseignement de leurs traditions,

Ils ont le droit d' exprimer leur attachement à leur Nation par leurs symboles nationaux, ou par tous autres moyens..

Il est strictement interdit aux pays exerçant l'autorité publique de modifier en quoi que ce soit les limites du territoire des nations en cause.

Le droit des peuples à disposer d'eux mêmes et de leur destin est sacré.

 

Les Etats qui exercent l'autorité sur le territoire de ces nations doivent veiller, à peine de se mettre en faute au regard du droit international, à faire respecter ces principes.

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