1793 LES CHAMBRES A GAZ DE NANTES.

05/10/2024 23:16

1793 LES CHAMBRES A GAZ DE NANTES.

 

« Les Bretons sont les Juifs de la France » (Herbert Pagani).

 

Les chambres à gaz n’ont pas été inventées par les nazis, mais, sauf preuve contraire, par la France des droits de l’homme. Les gaz mortifères ont été essayés à Nantes par les « inventeurs » des droits de l’homme. Par bonheur, ce fut un échec.

 

La guillotine et les exécutions étant trop lentes, pour tuer davantage et plus vite les Bretons de Nantes, les « révolutionnaires » de Paris pensèrent à un moyen plus efficace : les gaz toxiques.

Les Français envoyés par la Convention à Nantes, capitale de la Bretagne, avaient mis au point un procédé effroyable pour se débarrasser plus rapidement des populations nantaises : les noyades de masse. La guillotine, les balles, n’étant ni assez rapides, ni assez efficace, et coûtant de l’argent au pays qui venait d’inventer les droits de l’homme, il fallait trouver mieux.

 

Le procédé est inauguré en 1793, par le sinistre Carrier, surnommé « le boucher de Nantes ».

Le 16 novembre 1793, il fait noyer 90 prêtres. On utilise des gabarres à fond plat, aménagées pour pouvoir s’ouvrir par le fond. On peut y jeter 300 à 400 personnes, pêle-mêle, hommes, femmes, enfants, après les avoir frappés, cognés, et s’il s’agit de femmes, violées. Un autre moyen, mais peu efficace : on lie ensemble deux personnes – si possible le père et la fille, la mère et le fils -, dans des positions impudiques : la bouche du père et de la mère au contact des organes génitaux de leur fille et de leur fils, on les jette dans la Loire. Carrier appelle cela des mariages républicains.

 

Les criminels de Paris ont exprimé par écrit leur ferme volonté d’éliminer la totalité de la population vendéenne, par génocide. Les Bretons sont programmés ensuite.

 

Reynald Secher, qui a soutenu une thèse très documentée sur ces faits en 1985 en Sorbonne, détient les preuves écrites de ces génocides, et les a publiées, maintes fois. On devait remplacer ces populations par d’autres, venues de France, qui auraient reçu un « label de qualité », et auxquelles on aurait distribué les biens des populations assassinées.

On s’adressa à des chimistes nantais pour mettre au point des gaz mortels, susceptibles d’ »améliorer » les rendements criminels des spécialistes des droits de l’homme. Fourcroy fut le principal de ces héros.

En 1792, il est élu quatrième député suppléant de Paris à la Convention nationale. Lorsque Turreau lui demande un gaz capable de tuer en une seule fois plusieurs centaines de Vendéens enfermés dans un lieu clos, comme une église, Fourcroy lui répond qu’à sa connaissance, ce gaz n’existe pas. Des essais sont effectués. Les moyens utilisés n'obtiennent que peu de résultats et sont abandonnés. 

 

L’histoire connaît d’autres exemples que ceux de Nantes.

En Algérie, les « enfumades » sont restées tristement célèbres. Ils sont l’oeuvre, cette fois encore, du pays qui s’est gargarisé jusqu’à ces dernières années d’avoir inventé les droits de l’homme !

 

Les atrocités sont constantes dans toutes les guerres. Il ne s’agit pas, ici, de condamner les atrocités commises par les Français, parce qu’ils sont Français, mais de faire prendre conscience à nos lecteurs – les Bretons ont un droit de priorité -, des abominations dont l’espèce humaine est capable.

 

Des gaz ont été utilisés durant la première guerre mondiale. Trois se sont révélés particulièrement nocifs : le gaz moutarde ou ypérite, le gaz sarin, le gaz VX. Le simple contact avec la peau peut entrainer des brulures graves. Ces procédés horribles ont été utilisés sur le mode industriel par les nazis, pour tuer des Juifs, des homosexuels, des tziganes, des handicapés. On utilisait le zyklon B (acide cyanhydrique), parfois le monoxyde de carbone.

 

Fourcroy a une rue à son nom à Paris, et a l honneur d’avoir sa statue sur la façade de l’hôtel de ville de Paris.

 

 

A Nantes, le procédé de l’administration de la mort par les gaz a échoué. Mais à Savenay, à 30 kilomètres au nord de Nantes, en pleine Bretagne, donc, on se livra à des actes d’une barbarie hallucinante. Voir ce qu’en dit Westermann lui même, ses aveux sont publiés partout.

 

Les traces de ces histoires horribles avaient été effacées. Jamais un agrégé ou un docteur en « hystoyre » « breton », jamais un députeu, jamais un sénateu n’ont évoqué ni condamné ces horreurs.

 

Mais un certain Louis Mélennec est allé en 2009 à Bruxelles, non sans avoir fait imprimer, avec l’aide de Pierre Lemoine, qui fut président de la FUEN pendant plusieurs années, dans une brochure d’une cinquantaine de pages, ce que fut le martyre de la Bretagne.

Il n’y a eu aucun écho ni dans la presse française, ni, bien sûr, dans la presse bretonneLe premier tirage a été épuisé très rapidement. Ce petit livre a été publié in extenso sur la toile, et mis gratuitement à la disposition des lecteurs. Il a fait le tour du monde. L’auteur a renoncé, évidemment, à tous ses droits au bénéfice des associations qui luttent pour que la vérité soit connue.

 

Nous devons à Reynald SECHER d’avoir connaissance de ces faits abominables. Il est encore persécuté aujourd’hui. Louis Mélennec a été exclu de tous les merdias

français et bretons pendant vingt ans. Mais plusieurs pays ont fait connaître très largement ses travaux, notamment la Catalogne, le Québec, la Kabylie, la Russie ...

 

Non ! Sieur Mélenchon, nous ne sommes pas les fils de la grande révolution française. Si vous l’êtes, assumez cette vocation, puisque vous en avez fait publiquement l’aveu ! Je ne fais pas partie de cette horde nauséabonde.

J’ai lu quelque part que parmi les historiens Juifs qui ont consacré leurs publications à la Shoah, certains ont perdu la raison. On peut comprendre cela. Quant à moi, j’ai résisté. Mais on ne fait pas impunément des recherches historiques sur ces horreurs sans que cela laisse des traces.

 

Parmi d’autres « joyeusetés » causées par les armées françaises :

- En 1675 : « l’autre jour, ils ont cuit des enfants à la broche » (Madame de Sévigné ».

- En 1793 et 1794 : on a écrasé des femmes enceintes sous des pressoirs à raisin ; d’autres, également enceintes, ont été ouvertes les fœtus découpés, leur ventre remplis d’avoine pour faire brouter les chevaux …

 

Il est essentiel de préciser que les atrocités n’ont pas été à sens unique. De même, les colonisations, l’esclavage, le racisme sont des phénomènes liés à l’espèce humaine, et ne sont pas des inventions de la France. Les publications de Tidiane N Diaye sur les traites arabo-musulmanes, tès peu diffusées dans les merdias français ont une iportance capitale.

 

Bibliographie.

 

Babeuf Gracchus, Le système de la dépopulation, ou populicide.

Bréjeon Jean-Joël, Tempus Perrin 2016

 

Gabory Emile, Les guerres de Vendéee, Paris 1989, collection Bouquins.

Mélennec Louis, La hoah bretonne de 1675, article publié sur la toile.
Mélennec Louis, Comment les Bretons sont devenus français. Plusieurs articles sur ce thème.

Mélennec Louis, Letttre ouverte à Christiane Taubira. Très important ; document plusieurs fois saboté par les falsificateurs de l’histoire bretonne. Anne Brassié a eu le mérite de re-publier cet article dans son site.

N’Diaye Tidiane, Le génocide voilé, plusieurs films.

Secher Reynald, La Vendée vengé , Paris 2006, éditions Perrin. Nombreux ouvrages, articles, conférences de cet auteur, tous très importants.

Les enfumades d’Algérie, L’humanité, Le nouvel Observateur …. les médias français ont laissé accuser la France pendant des dizaines d’années.

 

LETTRE A CHRISTIANE TAUBIRA (Extraits).

 

 

L’esclavage est une honte pour l’humanité entière. Ce n’est pas un crime inventé par la France (Lettre ouverte à Christiane Taubira).

 

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