CONFERENCE DU BON DOCTEUR MELENNEC AU BEARN

30/10/2015 12:15
CONFERENCE DU BON DOCTEUR MELENNEC AU BEARN …. SUR L’HISTOIRE DU BEARN, LE 6 AOÛT 2015, à ARTHEZ .
 
DEUX NATIONS MILLENAIRES INTERDITES D’EXISTER PAR LES MEFAITS DES DERANGES MENTAUX DE PARIS.
(Texte de présentation de la Conférence).
L’assassinat d’une nation est l’un des pires crimes que les êtres humains puissent commettre. Tuer une nation, c’est assassiner une très vaste famille, celle que constitue tout un peuple partageant la même identité, et la même foi dans cette identité. Il n’est que de penser à l’oeuvre « civilisatrice » des Espagnols en Amérique centrale et en Amérique du sud, à l’oeuvre « civilisatrice » des colons anglais en Amérique du nord, à celle des Chinois au Tibet, à celle des Français en Bretagne. Dans ce genre particulier, la France a fait preuve de talents exceptionnels. Aujourd’hui, par bonheur, tout le monde le sait. C’est bien : ces crimes auraient pu rester impunis.
Tout le monde sait ce qu’a été la révolution de 1789 : raboteuse et unificatrice, elle a supprimé ce que l’on dénomme aujourd’hui, avec condescendance, les « particularismes locaux ».
Qui sait – qui le croira ? -, que le petit Béarn, avant d’être englouti par la France, comme la Bretagne, l’Alsace, la Savoie et Nice, a été un authentique Etat souverain, pourvu d’un gouvernement, d’une assemblée nationale, d’une législation, d’une justice propres ? Les recherches historiques de Louis Mélennec, ancien enseignant des facultés, avec bien d’autres travaux aujourd’hui nombreux, ont révélé aux milieux historiques et politiques incrédules, voire hostiles, que la France n’est pas UNE et INDIVISIBLE, comme on l’a enseigné dans les écoles jusqu`à ces dernières années, mais un conglomérat de provinces et d’authentiques nations, réunies par le forceps et le marteau, par un pouvoir parisien férocement jacobin, décidé à ranger toutes et tous sous les mêmes règles impératives, sous prétexte d’égalité, celle-ci n’étant pas une loi naturelle, loin s’en faut. Pas davantage que la liberté et la fraternité.
Ces histoires nationales locales – en particulier de la Bretagne et de l’Alsace -, sont en train de renaître, à la faveur du « redécoupage » désordonné, incohérent et incompétent des « provinces » « françaises », qui mécontente d’autant plus qu’il a été décidé à Paris, par quelques personnes non informées des réalités historiques, et peu préoccupées des désirs réels des intéressés, qu’ils ont mission de servir, à l’exclusion de toute autre chose.
En 1789, la nation béarnaise a au moins mille ans d’existence. Férocement attachés à leur identité, les Béarnais – pas plus que les Bretons ou les Basques -, ne veulent en aucun cas devenir des Français, ce qu’ils ne sont pas, la France étant pour eux un pays résolument étranger. En deux coups de cuillère à pot, leur assemblée nationale (Les Etats de Béarn) sont supprimés, un département dont ils ne veulent pas est créé, ils sont pourvus d’un gouverneur sous le nom de « préfet », leur nation millénaire est censée n’avoir jamais existé ! Personne n’est consulté, sûrement pas la population. L’histoire du Béarn est scotomisée par Paris, et remplacée dans les écoles par une roman national unique, celui de la France centralisatrice, qui n’est en rien l’histoire des nations périphériques. La Bretagne, l’Alsace, le Pays Basque, la Savoie, Nice, la Corse, et, bien sûr, la Béarn sont engloutis autoritairement sans leur consentement dans la France, proclamée une et indivisible. Ce qu’elle n’est pas.
Qui peut douter de la véracité de cette chose étonnante ? S’il y a doute, et si l’on veut des preuves irréfutables, qu’on veuille bien consulter les livres du regretté professeur Tucoo-Chala, l’historien incontesté du Béarn, en particulier le petit traité qu’il publia en 1970, dans la collection Que sais-je, aux Presses universitaires de France. Un demi-siècle déjà !
Quiconque pourrait douter de la très forte identité béarnaise, n’a qu’à écouter le chant patriotique entonné par M. Jean Lassalle, député du Béarn, en pleine assemblée nationale française, là où nos députés, toute honte bue, dans leurs réunions publiques, donnent la chasse à notre drapeau national, avec le concours de la maréchaussée française.
Nul doute que la conférence du docteur Louis Mélennec, dont on peut lire Le Livre Bleu de la Bretagne, offert en téléchargement gratuit par plus de 20 sites internet, va créer la surprise. Cet historien, docteur en droit, ne propose rien d’autre que de remettre à l’endroit ce qui a été mis à l’envers par des historiens qui n’ont guère eu le loisir ni l’envie, par souci de leur carrière, au pays autoproclamé des droits de l’homme, de s’exprimer librement, jusqu’à une période très récente. Ce vaste mouvement de réécriture de l’histoire est universel.
La biographie de Louis Mélennec est lisible dans Internet en tapant dans la case Google ces deux mots : mélennec wikipédia. L’obstination de cet historien breton à vouloir à tout prix dire la vérité, irrite profondément les vieilles lunes qui s’accomodent du mensonge, et ne veulent en aucun cas que la lumière soit faite sur les impostures de l’histoire. On se demande à quoi répond cette appétence pathologique pour le mensonge.
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LES LECTEURS ECRIVENT ….
– Une personne informée, résidant à Pau. » Nous ne doutons pas que votre conférence va susciter la polémique. Nous nous en réjouissons : la vérité avance ainsi, pas en courbant l’échine ».
Réponse. Mes thèses ne sont plus révolutionnaires ! Elles l’ont été, il a dix ans. Mais beaucoup d’historiens écrivent maintenant presque la même chose que moi. Bien sûr, comme dans la chanson, le premier qui a dit les choses, est oublié, après avoir été abondamment injurié et copié. J’ai l’habitude d’être en avance, et d’être copié.
L’Alsace se réveille, la Savoie aussi, les Niçois sont furieux d’avoir été roulés, etc. Les députés et les sénateurs se taisent : VOUS SAVEZ POURQUOI : question de soupe, qui est fort abondante.
J’ai invité François Bayrou, maire de Pau – qui ne répondra pas, et Jean Lassalle, député qui, m’a-t-on dit, … a chanté l’hymne national béarnais à l’Assemblée nationale.
Ma conférence abonde de citations béarnaises, qui ne sont pas tendres pour la France : donc, je n’invente RIEN, je dis la vérité, qui avance !
Les historiens béarnais sont très en avance, ils n’ont pas leur langue dans leur poche. Les Bretons ont PEUR de TOUT. Il y a un mois, un Breton, historien, m’écrit : « Ici, vous savez que tout le monde a peur; nous ne pouvons rien dire, et nous ne disons rien ». Vous n’imaginez pas leur trouille. De quoi ? Incompréhensible !
Mais les jeunes Bretons sont à l’affut, ils sont avides de vérité et de Dignité.
Il faut dire des choses intéressantes, j’essaie de le faire, dans tous les domaines. Sinon, quel ennui ! J’ai l’âme d’un chercheur. Je suis de ceux qui trouvent. Et j’aime assez emmerder les cons, mais seulement ceux-là. Je suis foncièrement un pacifique, un défenseur acharné de la dignité humaine. Toute ma vie a été consacrée à ce combat.
Dernière péripétie : WIKIPEDIA a supprimé ma biographie. Mais des Bretons bien intentionnés l’avaient copiée, et elle est réapparue deux jours plus tard, sur d’autres sites. Avec, de surcroît, une version … anglaise ! Tous rient des « savants » de Wikipédia. On me dit que certains de ces « experts » se sont décidés à apprendre la lecture, mieux : l’orthographe ! Là, j’ai des doutes !

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