HONTE A CEUX QUI ONT TRAHI ! le découpage anti-démocratique français

20/01/2018 19:29


HONTE A CEUX QUI ONT TRAHI ! Chronique de Louis Mélennec, publiée en 2014. @@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@ 2014 : LE GOUVERNEMENT FRANCAIS PROCEDE A UN « DECOUPAGE » DE LA FRANCE, SANS CONSULTER PERSONNE. LA BRETAGNE EST HONTEUSEMENT SPOLIEE UNE NOUVELLE FOIS, AVEC LA COMPLICITE DE SES PRETENDUS « ELUS », QUI TRAHISSENT EN BLOC, A QUELQUES UNS PRES (Extraits de l’article publié par le docteur Louis Mélennec en 2014). NANTES ET LA LOIRE ATLANTIQUE AUX MAINS DES FRANCAIS : DES BRETONS SE SONT ENCORE MIS A GENOUX ! HONTE A EUX ! @@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@ La Bretagne et les Bretons viennent de se faire administrer une claque magistrale : tout le pays réclamait avec intransigeance que Nantes et la Loire Atlantique, qui représentent un tiers de leur richesse, réintègrent le territoire national breton, spolié par le pays situé à l’est de ses frontières, son ennemi naturel depuis des siècles. Toute faute mérite sanction, c’est justice, il vient un moment où les lâches doivent recevoir la râclée qu’ils méritent : cela viendra en son temps. Qu’une nullité placée au sommet de l’Etat d’à côté ait pu imposer cela, nullité reconnue telle par tous et par toutes, de tous bords, au mépris de la volonté farouche des populations, avec la complicité active ou passive d’un quarteron de Bretons, dont le président du Conseil régional de Bretagne, et un autre nullard placé à la stupeur générale, à la tête d’un « gouvernement » de brêles et de pédalos, laisse pantois : on est incrédule, on se pince car on ne croit pas que cela soit vrai. Bravo mesdames et messieurs les Bretonnes et les Bretons : vous avez élu ceux qui vous ont trahi, et vous les avez laissé faire. Plus tard, on pourra dire de vous : ILS ONT MERITE DE LEUR PAYS, CE SONT DES HEROS. Voila vingt ans au moins, en ce qui nous concerne, qu’on leur donne TOUS LES ARGUMENTS POUR RECUPERER LEURS DROITS IMMEMORIAUX : l’histoire, les invasions, la destruction des institutions, la destruction de la langue, les massacres, le génocide breton et vendéen, les atrocités abominables commises par les armées françaises, les humiliations insensées infligées à notre Nation depuis la prétendue révolution universelle dite « des droits de l’homme », les violations quotidiennes du droit européen, du droit international, des principes élémentaires du droit, les droits sacrés des hommes. Rien n’y fait : on patauge, on rampe, on s’humilie, on broute, on lèche, on va manger dans la main de ceux qui ont fait nos malheurs. Des Bretons ont encore accepté, il y a deux ans, d’aller à la soupe, après les élections de 2012, en acceptant des « fonctions » dans le « gouvernement » français. On leur a dit, le plus clairement possible : « n’allez pas à la soupe : cette fois, elle va vous sauter à la figure, elle va vous étouffer, sinon vous étrangler ». Aujourd’hui, les mêmes s’aplatissent devant ce prétendu plan de partage du territoire, qui laisse aux mains des Français la perle de notre patrimoine historique : Nantes et sa région. Ils n’ont bronché ni avant, ni pendant, ni après l’infamie qui vient de se commettre. Ils n’ont jamais rien fait. Ils ne feront jamais rien, n’ayant compétence pour rien. Si, pour une chose : ils vont maintenant ramper encore davantage, pour essayer de se raccrocher aux branches, pour retourner leurs vestes, pour faire croire aux Bretons qu’ils sont Bretons, parce que le moment est venu de se déclarer patriotes, et qu’ils réalisent que tant de lâcheté risque de leur coûter leur cher casse-croute aux prochaines élections. Sommes nous maudits ? C’est pire : nous appartenons à un peuple qui ne cesse de plier l’échine, et qui se satisfait de sa condition d’esclave. Avant nous, il y a eu les autres; avant les autres, encore les autres; avant ceux-là, d’autres encore. J’ai démontré – après ou avec d’autres historiens, je le souligne -, que la résistance bretonne ne commence pas au 19ème siècle : elle a commencé dès 1492, quelques mois seulement après le mariage forcé de la Duchesse Souveraine ANNE de BRETAGNE, en décembre 1491, avec son ennemi le roi de France; cette résistance a été continue, jamais interrompue – sauf après les massacres abominables de 1675, les Français ayant déversé sur la Bretagne 10 000 (je dis : dix mille) soudards se livrant à des viols, des sévices corporels, des vols, des tortures, des meurtres, des incendies, des pendaisons par milliers, qui ont littéralement mis les Bretons terrifiés à genoux, jusqu’à la mort de l’homme responsable de ces tueries, Louis XIV, roi des Français, qui eut le mauvais goût de ne mourir que quarante ans plus tard, le 1er septembre 1715, laissant un royaume de France ruiné, une Bretagne asphyxiée et détruite. Pourquoi ce massacre ? Aucun journaliste français n’a cherché à le savoir, et n’aurait rien su si je n’étais répétitivement intervenu auprès des médias, par mails répétitifs et insistants, pour leur adresser l’article que j’ai publié jadis dans le site de l’Agence Bretagne Presse sur cet épisode abominable de notre histoire, et de la férocité de nos tortionnaires. Sachez que si des allusions à l’histoire et au problème breton sortent maintenant dans la presse française, surtout dans les médias étrangers, que cela n’est pas l’effet de l’opération du Saint Esprit, mais d’une stratégie voulue, acharnée, menée sans faiblesse auprès de ces médias – et sans aide aucune, surtout pas celle des sectes bretonnes – depuis plus de quinze ans. Les Bretons savent-ils encore vomir ??? Qui tend les fesses pour qu’on leur cogne dessus se fait botter le cul, dit le proverbe : c’est fait, une fois de plus. Voila les Bretons à nouveau humiliés. D’une manière magistrale. Cette fois l’écrasement des cerveaux n’opérant plus en Bretagne, ils avaient tous les moyens d’agir : ILS ONT ENCORE ECHOUE, malgré toutes les armes dont ils disposent. Voudrait-on le faire, qu’on n’y parviendrait pas : le sommet de la sottise est dépassé ! Accuser sans cesse les autres de ses propres insuffisances est insupportable. Ce n’est pas la France que j’accuse : elle joue son jeu, ce qui, en somme, est normal. Par nécessité, étant sur la barricade, j’exalte dans mes chroniques, quelques fois, le peuple breton; croyez vous que je ne suis pas lucide ? La lâcheté bretonne, je sais ce que c’est, pour en avoir éprouvé les effets, dès le début de mes interventions sur internet pour restaurer la vérité et l’histoire falsifiées de la Bretagne. A l’exception des jeunes courageux qui manifestent leurs convictions en brandissant partout nos emblèmes nationaux, la Bretagne a cherché ce qui lui arrive, par sa veulerie. Mais j’ai confiance dans cette jeunesse : elle n’accepte plus l’infamie, c’est elle qui fait et qui fera renaître notre magnifique Pays, l’un des plus beaux de la Création.

 
 

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