La Bretagne, les valeurs universelles, droit international.

28/01/2016 13:13
La Bretagne toute entière, à de rares exceptions près, adhère aux valeurs universelles consacrées par le droit international, le droit européen, les principes généraux du droit. Pour les Bretons, le racisme est une abomination, seules comptent les qualités de chaque personne, sauf à être sanctionnée si celle-ci ne respecte pas les autres personnes humaines, et les lois irréductibles de la vie en commun. 
 
Les Bretons, qui souffrent de graves discriminations depuis cinq siècles, qui sont encore abreuvés d’injures – il faut lire impérativement les articles consacrés aux injures anti-bretonnes, qui sont publiées et mises à jour sur la toile, mois après mois, dans plusieurs sites internet – condamnent dans des termes péremptoires les discriminations de toutes natures qui frappent les individus, les peuples, les nations. Ils exigent, comme le garantit le droit international, que leurs droits nationaux et internationaux leurs soient rendus, qu’ils accèdent à la gouvernance de leur pays par eux-mêmes, au droit d’enseigner et de transmettre leur langue, leurs valeurs, leur culture, d’enseigner leur histoire bi-millénaire, qui la clé de leur liberté, et que soient sévèrement punis ceux qui s’y opposent. 
 
Ils sont le peuple de Tristan et Iseult, du roi Arthur, de Merlin, de Mélusine, de Lancelot, tous héros de la Matière de Bretagne, qui ont enchanté l’Europe par leurs idéaux élevés. Ils sont assoiffés de justice et d’équité. Leur philosophie, par leur littérature, leur mythologie noble et élevée, a ensemencé toute l’Europe médiévale, qui leur doit beaucoup. La situation discriminante dont ils sont victimes doit impérativement cesser. 
 
L’auteur du présent article a consacré sa vie à défendre les droits de la personne humaine, et à dénoncer les exactions dont sont victimes les humains : tous ses écrits la prouvent, sans exception aucune. Que ceux qui vomissent sur les aspirations légitimes des Bretons soient frappés : ce sont eux les coupables. 
 
Rien de ce que les Bretons souhaitent pour eux mêmes et pour les autres n’est contraire ni au droit ni à la morale des peuples, ni aux principes que l’humanité a sécrété au terme de plusieurs milliers d’années de civilisation.

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