La fin de l'esclavage de la Bretagne.

16/12/2015 12:50
La fin de l'esclavage de la Bretagne. Les retrouvailles des Bretons avec leur identité réelle, leur patrie charnelle, est aujourd'hui un processus très avancé, irrépressible. Ce n'était certes pas les cas dans mon enfance. Lorsque, il y a dix ans, j'ai enfin été en mesure de publier – pas dans la presse dite des droits de l'homme, mais sur la toile -, mes premiers articles sur la nation bretonne, une pluie d'injures fut déversée sur ces écrits par des jeunes Bretons de cette époque, qui, sans avoir jamais lu une archive, s'érigèrent en professeurs émérites et arrogants. (Je ne parle pas seulement des experts-branleurs de Wikipédia). Là où plusieurs vies ne suffiraient pas à explorer toute l'histoire de la Bretagne, leur prétention à tout savoir était ridicule. Les esclaves, accoutumés à leur condition servile, croient que l'esclavage est dans la nature des choses, et ont du mal à se débarrasser des marques au fer rouge incrustées sur leur peau : ce fait est connu, dans toutes les populations serves. Les Juifs en savent quelque chose, eux qui ont trainé cette condition pendant deux mille ans, et en gardent des traces dans leurs circonvolutions cérébrales. Avoir une « condition », quelle qu'elle soit, crée l'illusion d'une sorte de confort, même si cette condition est ignoble : voyez les parias de toutes les nations, en particulier celle de l'Inde et du Japon. Les esclaves bretons, ayant intériorisé les insanités « hystoryques » qui leur étaient infligées dans les écoles bretonnes sous « mandat » français – c'est à dire dans toute l'université, sous forte influence marxiste – fonctionnaient mentalement sur ce schéma imposteur : la France était immortelle, elle n'avait pas d'origine historique, puisqu'elle avait existé de tous les temps ! Elle avait tout inventé : la Liberté, la Civilisation, la littérature, la langue la plus belle du monde, quoi encore ? Les Bretons devaient donc se sentir honorés qu'on soit venu les chercher dans la fange dans laquelle ils baignaient, qu'on se soit incliné pour les cueillir dans le ruisseau, en primitifs qu'ils étaient ! Ils étaient les survivants de Cro-Magnon, la France généreuse, s'abaissant jusqu'à eux, d'animaux qu'ils étaient, en avait fait presque des êtres humains.(1)
 
 
On sait aujourd'hui que la France n'a inventé ni le beurre, ni même le fil à couper le beurre.
 
Un jour, le roi Frédéric II de Prusse, athée, lança agressivement à son chapelain la phrase suivante : « Mais enfin, monsieur le Pasteur, donnez-moi au moins une preuve de l'existence de Dieu ! ». Le Pasteur répondit, simplement, sans autre argument : « Mais … les Juifs sire ! »
 
A ceux qui demandent si la France est un peuple de génies, je réponds simplement, sans qu'il soit besoin d' autre démonstration : « Voyez les pieds nickelés qu'ils ont placés à la tête de leur pays en 2012, et qui détruisent avec frénésie leur patrie, sans que personne bouge ».
 
A quoi il faut ajouter la phrase devenue célèbre d'un ministre suisse, confronté à l'arrogance des « parlementaires » français, venus rendre visite à Berne, et prétendant donner des leçons d'économie et de gestion à nos voisins, les studieux et sages helvètes : « Les Français, ces cancres, ont l'incroyable prétention de donner la leçon au premier de la classe ! ».
 
 
(Nota : il ne désignait nullement le brave peuple français dans son ensemble, mais ceux dont on dit en Bretagne, qu' « ils se croient ». Et chez nous, cette catégorie se confond largement avec celle des imbéciles fanfarons).
 
 
Ainsi soit-il !
 
 
(1) L'hallucinant Claude Hagège, professeur au collège de France, membre de l'Institut, pourtant familier de l'histoire des Juifs, en raison de ses origines, a pu déclarer à la télévision, il y a peu d 'années : « La Bretagne a été rattachée à la France. Les Bretons étaient des sauvages, les Français en ont fait des êtres civilisés » !!!
 
On peut être membre de l'Institut, et être en même temps un parfait imbécile.
 
 
Copie : M. Jean-Luc Mélenchon, ami de la Bretagne : j'ai entrepris de le rééduquer, quoique ce soit peine perdue : il révère toujours le communisme, qui a à son actif plus de cent millions de victimes innocentes, dont il ne parle jamais, pas davantage que M.M. Le Drian et Ayrault des 5000 Bretons noyés à Nantes par les armées françaises de la Liberté).
 
 
 
 
LOUIS MELENNEC.

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