LE PRETENDU GOUVERNEMENT PROVISOIRE DE LA REPUBLIQUE FRANCAISE, (1944 - 1946), « présidé » par l’ex-général de Gaulle n’a eu aucune existence juridique.
Tous les textes publiés par ce pseudo-gouvernement sont nuls et non avenus.
DE GAULLE, A L’ABRI A LONDRES, PUIS A ALGER, PUIS A LONDRES, REVIENT EN FRANCE SECURISE PAR LES ANGLAIS.
De Gaulle n’a combattu ni en 1940, ni en 1941, ni en 1942, ni en 1943, ni en 1944. Il débarque à Courseules, en Normandie le 14 juin 1944, six jours après le débarquement anglo-américain du 6 juin. Ni les Anglais ni les Américains n’ont voulu de lui dans cette affaire. Il a dû solliciter l’autorisation de Churchill pour venir à Courseules. Il s’était rendu détestable à tous, par son invraisemblable orgueil, et ses prétentions ridicules.
De là, il s’est rendu à Bayeux, ville distante de 30 klm.
Paris a été libéré, non par de Gaulle, non par les troupes françaises, non par Leclerc. Entre le 19 et le 25 août, des centaines de barricades ayant été érigées dans tout Paris, le 24 août au soir une colonne de soldats français et espagnols, la Nueve, entre dans Paris.
Ce n’est pas de Gaulle, ni ses hommes qui ont libéré Paris : on ne le voit en aucun lieu où il ya danger.
Il descend les Champs Elysées, le 26 juin 1944, entouré d’une foule considérable. La propagande fait qu’on le prend pour le Libérateur de la France, image qu’il cultive avec machiavélisme.
C’est le breton Rol-Tanguy, chef des FFI d’Ile de France, avec l’aide des parisiens, qui a libéré la capitale, à partir du 19 août 1944, à l’approche des armées alliées. A la demande insistante de de Gaulle, les alliés consentent à détacher en urgence la 2e Division blindée du général Leclerc. Le 25 août 1944, Leclerc, avec sa 2ème division blindée, et ses chars entrent les premiers dans Paris par la porte d’Orléans. Dans la gare Montparnasse, le gouverneur allemand de la capitale, le général von Choltiz (qui a refusé d’appliquer l’ordre d’Hitler de détruire les monuments parisiens), signe la capitulation. La place étant nette, de Gaulle rejoint lui-même la gare Montparnasse; soucieux de faire en sorte que son pouvoir politique soit considéré comme le seul légitime, il reproche à Leclerc d’avoir accepté de signer l’acte de capitulation avec le chef des insurgés, le communiste Rol-Tanguy (!)
Les Alsaciens disent avec humour : « après la libération de Paris - par d’autres que lui-même -, il voyage en France, et se livre à ses deux talents favoris : il fait la morale à ceux qui se sont battus, …. Et distribue des médailles (voir la délicieuse photo sur internet).
En toute simplicité, il prend possession du bureau qu’il occupait au ministère de la guerre en arrivant à Paris.
Un trompe l’oeil se met en place, la légende se construit peu à peu. Il apparaît à nombre de Français comme le libérateur de la France. Il est l’homme fort, de qui tout dépend; il est le mieux placé dans cette course au pouvoir, sa clientèle grossit de mois en mois. Pendant des années, la vérité sera dissimulée.
Une pseudo-ordonnance du 9 août 1944 intitule le « régime » qu’elle prétend instaurer, dirigé par Charles de Gaulle, Gouvernement Provisoire de la République Française. Ce texte prétend abroger la législation du gouvernement de Vichy, et préparer le rétablissement de la légalité républicaine (!)
Sûr de mes connaissances en droit constitutionnel (je suis titulaire d’une licence en droit, de trois d’études supérieures de droit (droit publié, droit privé, sciences criminelles), d’un doctorat en droit, ai publié plusieurs centaines d’articles juridiques, enseigné dans les facultés de droit, et donné des conférences à l’Ecole nationale de la magistrature, J’ai néanmoins consulté mes anciens collègues avant de publier le présent texte, qui renverse l’histoire, une fois de plus, d’une manière très offensive.…
Le professeur Hesse, qui fut avec le professeur TUNC mon patron de thèse en 1996, m’écrit cette lettre capitale sur le caractère inconstitutionnel du prétendu gouvernement dit GPRF :
« Professeur HESSE, 9 septembre 2025, au docteur Louis MELENNEC.
« Je crains malheureusement que vous ayez juridiquement raison ; c'est ce que j'aurais tenté de démontrer dans ma thèse sur "le gouvernement provisoire de la république française inspiratrice du gouvernent de la république algérienne", que je n'ai jamais terminée,
Les documents qui devaient me servir ont été saisis par la police française, en même temps que leur conservateur était emprisonné en 1961.
Cordialement"
Philippe-Jean Hesse
Professeur honoraire à l'Université de Nantes
Les copistes et les menteurs « bretons » sont donc maintenant au courant, Le professeur Hesse est décédé très récemment, le 11 septembre 2025. Nous avions conservé des relations respectueuses depuis ma thèse de doctorat en mai 1996. Je savais que je pourrais attendre de lui une réponse strictement honnête, et que personne d’autre que lui ne comprendrait même de quoi il s’agit en Bretagne. Conséquences de cette ré-écriture de la supercherie : au plan juridique, il n’y a pas eu à Paris de gouvernement provisoire de la république française; de Gaulle n’a rien présidé du tout de 1944 à 1946, qu’un fantôme et du vent; toutes les prétendues lois votées par cette instance inexistante sont nulles et non avenues, ce sont les lois de Vichy qui sont valides.
Voilà qui va me valoir de nouvelles bordées d’injures bretonnes. Et puis, les copistes copieront.
N'oubliez pas Ouest-Torche et Télé-crasse.
LOUIS MELENNEC
Prière de transmettre partout. Destinataires prioritaires : nos bons députeux, nos bons sénateux, notre bon le Drian, le génieAyrault, la maire de Nantes ...