Le racisme, l'identité des peuples, les pédalos et les brêles du système français.
Chacun de nous souhaite que les hommes, les nations, le peuples, les civilisations se rapprochent, se comprennent, cessent de se combattre de s'humilier, et aient la sagesse d'élaborer un code universel de valeurs communes, qui leur permettrait de vivre ensemble, d'une manière harmonieuse, même s'ils sont différents. Rien n'est plus absurde que le racisme, qui prêche la haine de l'autre, à cause de ses différences. On vient de découvrir - par nos travaux notamment -, que le racisme est universel : des imbéciles ont professé, dans de grands médias français, jusqu'à une époque très récente, que le racisme est une invention occidentale et française, et que le racisme anti-blanc n'existe pas !!! Ces criminels ont culpabilisé nos civilisations, et sévissent encore (voir notre article : Mélennec, racisme, esclavage, colonialisme). Pour autant, chaque peuple possède une identité, à laquelle il est attaché d'une manière viscérale, férocement peut-on dire. Il en est seul propriétaire légitime, et, ni de prêt ni de loin, les pédalos et les brêles que le système français met en place à Paris n'a le moindre droit de s'immiscer dans ce droit fondamental de la Nation, qu'après y avoir été autorisée par un vote solennel, sur les décisions qui doivent être prises.
L'identité bretonne ne se confond en aucun cas avec l'identité française; elle lui est antérieure de 1500 ans au moins, les Bretons, peuple antique, en sont les seuls propriétaires, ils ont seuls qualité pour décider de ce qui leur appartient.
Le multiculturalisme serait un bel idéal, s'il était réalisable. Il ne l'est pas, dans l'état présent des choses : les cultures et les religions sont encore trop différentes, pour que coexistent sur une large échelle des peuples qui professent des idées, des idéaux, des principes radicalement opposés. L'élaboration de principes admis par toutes les cultures est très hautement souhaitable, ce que nous ne cessons de prêcher depuis des dizaines d'années. A partir du moment où, pour les mêmes situations, les mêmes problèmes, les individus prétendent "tuez les tous", alors que d'autres affirment "Aimez votre prochain comme vous mêmes, tous les hommes sont frères", ou encore : "la femme est en toutes choses l'égale des hommes", alors que d'autres prétendent que la femme est l'esclave de l'homme, des conflits sanglants entre les communautés sont inévitables. Lorsque, d'un côté, on achète les femmes comme des bestiaux, lorsqu'on les excise, les insulte, les bat, les viole, les claustre dans le logis de leurs maris, les chasse, leur enlève la garde de leurs enfants, alors que de l'autre côté on a découvert, depuis deux mille ans, qu'elles sont n.os mères, nos soeurs, nos épouses, les mères de nos enfants, et qu'elles transmettent les valeurs de notre civilisation, comment imaginer que ces sociétés humaines peuvent fonctionner ensemble ? Nier cette réalité simple, ne pas vouloir laisser le temps faire son oeuvre, conduit l'humanité à sa perte. Le rêve communiste, même si certains de leurs initiateurs étaient de bonne foi, a tué plus de cent millions d'innocents; il faut se souvenir, de cela en permanence, et ne jamais s'éloigner des principes de réalisme et de réalité.