MESSAGE DE LOUIS MELENNEC A BRETAGNE REUNIE.

MESSAGE DE LOUIS MELENNEC A BRETAGNE REUNIE.

 

LES BRETONS DOIVENT CHIER SUR LA FANTOMATIQUE CHARTE DES LANGUES REGIONALES.... Vous savez mieux que quiconque que la France, depuis cinq siècles, a violé toutes ses promesses, dans tous les domaines.

Les bretons doivent, résolument, CHIER sur cette prétendue charte des langues "régionales", un attrape-nigauds, un miroir aux alouettes que la France hypocrite et menteuse espère encore exploiter pour tromper les plus que naïfs bretons.

Le breton n'est pas une langue "régionale", mais une langue nationale, née avant le Christ, évolutive certes comme toutes les autres, mais infiniment plus ancienne que le français, né autour des capétiens, après le 10ème siècle. 

Le but de la France est d'éradiquer la langue bretonne, en aucun cas de le faire renaître. Cette langue, par les crimes commis par notre voisin de l'Est en Bretagne, est hélas presque morte. La seule chance de la prolonger un peu - non de la faire renaître, voyez le sort de l'hébreu en Israël, qui recule devant l'anglais - porte un nom : le gouvernement des Bretons par eux-mêmes, c'est-à-dire L'INDEPENDANCE.

 

Depuis que vous existez, je vous ai adressé maints avertissements, sur ce qu'est la réalité des relations de la France et de la Bretagne : des relations de force, et, pour nous, de servitude. Il n'est pas même possible que vous accordiez un semblant de crédit aux promesses de notre ennemi de toujours, encore moins que vous puissiez penser que ce pays va être sensible aux platitudes et aux reculades lamentables des Bretons. Lefur et Molac ont été, dans ce prétendu combat pour la langue bretonne, enc... dans les grandes largeurs : voyez les deux chroniques que j'ai publiées dans mes blogs sur ces deux messieurs. Ils ont cru l'un et l'autre  - pardon : ils ont feint de croire - que la discussion avec nos colonisateurs allait produire des effets, c'est à dire se traduire par des progrès dans l'enseignement de notre langue. 

Êtes vous bêtes au point de vous laisser rouler, vous aussi ?

 

LOUIS MELENNEC