LES CHAMBRES A GAZ DE NANTES, en 1793, n’ont pas été inventées par les NAZIS, mais par les Français des doigts de l’homme.
(Dr LOUIS MELENNEC).
« Les Bretons sont les Juifs de la France » (Herbert Pagani).
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Les chambres à gaz n’ont pas été inventées par les nazis, mais, sauf preuve contraire, par la France des doigts de l’homme. Les gaz mortifères ont été essayés à Nantes par les défenseurs des droits de l’homme. Par bonheur, ce fut un échec.
La guillotine et les exécutions étant trop lentes, pour tuer davantage et plus vite, les « révolutionnaires » de Paris pensèrent à utiliser un moyen plus efficace : les gaz toxiques. Les noyades. Les Français envoyés par la Convention à Nantes, capitale de la Bretagne, avaient mis au point un procédé effroyable pour se débarrasser plus rapidement des populations nantaises : les noyades de masse. La guillotine, les balles, n’étant ni assez rapides, ni assez efficaces, et coûteuses, il fallait trouver mieux. Le procédé des noyades est inauguré en 1793, par le sinistre Carrier, un Français, surnommé « le boucher de Nantes ». Le 16 novembre 1793, il fait noyer 90 prêtres. On utilise des gabarres à fond plat, aménagées pour pouvoir s’ouvrir par le fond. On peut y jeter 300 à 400 personnes, pêle-mêle, hommes, femmes, enfants, après les avoir frappés, cognés, et s’il s’agit de femmes, violées.
Un autre moyen, mais peu efficace : on lie ensemble deux personnes – si possible le père et la fille, la mère et le fils -, dans des positions impudiques : la bouche du père et de la mère au contact des organes génitaux de leur fille et de leur fils, on les jette dans la Loire. Carrier appelle cela des mariages républicains.
Les criminels de Paris ont exprimé par écrit leur ferme volonté d’éliminer la totalité de la population vendéenne, par génocide. Les Bretons sont programmés ensuite. Reynald Secher, qui a soutenu une thèse très documentée sur ces faits en 1985 en Sorbonne, détient les preuves écrites de ces génocides, et les a publiées, maintes fois.
On devait remplacer ces populations par d’autres, venues de France, qui auraient reçu un « label de qualité », et auxquelles on aurait distribué les biens des populations vendéennes et bretonnes assassinées.
Le gaz. On demanda à des chimistes nantais de mettre au point des gaz mortels, susceptibles d’ »améliorer » les rendements criminels des spécialistes des droits de l’homme. Fourcroy fut le principal de ces héros. En 1792, il est élu quatrième député suppléant de Paris à la Convention nationale. Lorsque Turreau lui demande un gaz capable de tuer en une seule fois plusieurs centaines de Vendéens enfermés dans un lieu clos, comme une église, Fourcroy lui répond qu’à sa connaissance, ce gaz n’existe pas encore. Des essais sont effectués. Les moyens utilisés n’obtiennent que peu de résultats et sont abandonnés.
Les enfumades d’Algérie. L’histoire connaît d’autres exemples que ceux de Nantes. En Algérie, les « enfumades » sont restées tristement célèbres. Ils sont l’oeuvre, cette fois encore, du pays qui s’est gargarisé jusqu’à ces dernières années d’avoir inventé les droits de l’homme !
Les atrocités sont constantes dans toutes les guerres. Il ne s’agit pas, ici, de condamner les atrocités commises par les Français, parce qu’ils sont Français, mais de faire prendre conscience à nos lecteurs des abominations dont l’espèce humaine est capable, et de ne pas continuer à les dissimuler. J’en EXIGE autant des Algériens, et des musulmans qui ont esclavagisé des millions d’êtres humains du 7ème au 19 ème siècle en Afrique. Il ne peut plus être question d’accuser les seuls européens de ces abominations.
Des gaz ont été utilisés durant la première guerre mondiale. Trois se sont révélés particulièrement nocifs : le gaz moutarde ou ypérite, le gaz sarin, le gaz VX. Le simple contact avec la peau peut entrainer des brulures graves, et laisser des séquelles très sérieuses. Ces procédés horribles ont été utilisés sur le mode industriel par les nazis, pour tuer des Juifs, des homosexuels, des tziganes, des handicapés. On utilisait le zyklon B (acide cyanhydrique), parfois le monoxyde de carbone.
Fourcroy possède une rue à son nom à Paris, et a l honneur d’avoir sa statue sur la façade de l’hôtel de ville de Paris : tirez en les conséquences .
A Savenay, à 30 kilomètres au nord de Nantes, en pleine Bretagne, on se livra à des actes d’une barbarie hallucinante. Voici ce qu’en dit Westermann lui même :
« Nous fîmes une boucherie horrible, les dernières des six pièces de canon, quelques caissons, équipages, trésors, etc, tout tomba en notre pouvoir… Partout on ne voyait que des morceaux de morts. Moi je me suis attaché à quelques pelotons de cavalerie et d’infanterie qui s’étaient sauvés sur la gauche. Tous furent noyés ou taillés en pièces. Les brigands qui échappèrent, cette journée, à la mort furent traqués, tués ou ramenés par les habitants des environs. Dans la banlieue de Savenay seule, plus de six mille ont été enterrés ».
Westermann adresse au Comité de Salut Public la lettre suivante :
« Il n’y a plus de Vendée, citoyens républicains. Elle est morte sous notre sabre libre, avec ses femmes et ses enfants. Je viens de l’enterrer dans les marais et les bois de Savenay. Suivant les ordres que vous m’aviez donnés, j’ai écrasé les enfants sous les sabots des chevaux, massacré les femmes qui, au moins pour celles-là, n’enfanteront plus de brigands. Je n’ai pas un prisonnier à me reprocher. J’ai tout exterminé. Un chef des Brigands, nommé Désigny, a été tué par un maréchal-des-logis. Mes hussards ont tous à la queue de leurs chevaux des lambeaux d’étendards brigands. Les routes sont semées de cadavres. Il y en a tant que, sur plusieurs endroits, ils font pyramides. On fusille sans cesse à Savenay, car à chaque instant il arrive des brigands qui prétendent se rendre prisonniers. Kléber et Marceau ne sont pas là. Nous ne faisons pas de prisonniers, il faudrait leur donner le pain de la liberté et la pitié n’est pas révolutionnaire ».
Les traces de ces histoires horribles ont été effacées. Jamais un agrégé ou un docteur en « hystoyre » « breton », jamais un députeu, jamais un sénateu n’ont évoqué ni condamné ces horreurs.
Mais un certain Louis Mélennec est allé en 2009 à Bruxelles, non sans avoir fait imprimer, avec l’aide de Pierre Lemoine, qui fut président de la FUEN pendant plusieurs années, dans une brochure intitulée LIVRE BLEU DE LA BRETAGNE, de 98 pages, ce que fut le martyre de notre pays. Il n’y a eu aucun écho ni dans la presse française, ni, bien sûr, dans la presse bretonne. Deux pays égaux dans l’ignominie, pour ceux qu’on appelle maintenant « les néo-collabos ».
Le premier tirage a été épuisé rapidement. Ce petit livre a été publié in extenso sur la toile, et mis gratuitement à la disposition des lecteurs. Il a fait le tour du monde, grâce à La voix de la Russie, et à l’aide de La Pravda. L’auteur a évidemment renoncé, à tous ses droits au bénéfice des associations qui luttent pour que la vérité soit connue.
Nous devons surtout à Reynald SECHER d’avoir eu connaissance par lui de ces faits abominables. Il les a publiés plusieurs fois. Il est inimaginable les persécutions dont il a été victime de la part des adorateurs de la prétendue « révolution française « , devenue la religion de ceux qui se sont couchés devant ces horreurs.. Louis Mélennec a payé le prix fort : il été exclu de tous les merdias : ce criminel a osé dévoiler la vérité, sans peur et sans reproche, pendant vingt ans. Ses ennemis les plus féroces : les Bretons, en particulier l’officine dénommée WIKIMERDIA ». Mais plusieurs pays ont fait connaître très largement ses travaux. Aujourd(hui, TOUS LES BRETONS COPIENT.
Non ! M. Mélenchon, nous ne sommes pas les fils de la grande révolution française. Si vous l’êtes, assumez cette vocation, puisque vous en avez fait publiquement l’aveu.
Je ne fais pas partie de cette horde nauséabonde. J’ai lu quelque part que parmi les historiens Juifs qui ont consacré leurs publications à la Shoah, certains ont perdu la raison. On peut comprendre cela. Quant à moi, j’ai résisté. Mais j’y pense tous les jours; on ne fait pas impunément des recherches historiques sur ces horreurs sans que cela laisse des traces.
Bibliographie sommaire.
Babeuf Gracchus, Le système de la dépopulation, ou populicide. Bréjeon Jean-Joël, Carrier et la terreur nantaise, Perrin 1987. Gabory Emile, Les guerres de Vendée, Paris, collection Bouquins.
N’diaye Tidiane, Le génocide voilé; plusieurs films remarquables sur la toile, indispensables. Secher Reynald, La Vendée vengé, Le génocide franco-français, Perrin. Ouvrages de Secher sur ce sujet, diffusés dans de nombreux pays. Les enfumades d’Algérie. Nombreuses publications sur la toile.
Ont refusé de publier cet article, TOUS les merdias subventionnés, c’est à dire VENDUS; ils ont été complices.