HISTOIRE NATIONALE DE LA BRETAGNE : LES BRETONS PRENNENT EN MAINS L’ENSEIGNEMENT DE LEUR HISTOIRE, et rejettent avec détermination les mensonges français .

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YANN BREKILIEN (1920 – 2009), grand juriste, grand magistrat, courageux, homme honnête, d’une intégrité absolue. Grand homme, petite carrière : le pays des Droits de l’Homme est passé par là. Ce qu’il en coûte d’être Breton, et de le dire haut et fort. Yann Brekilen a été l’Initiateur de Louis MELENNEC à l’histoire de la Bretagne.

C’était un pacifique résolu, un homme de droit. Mais un grand naïf, un idéaliste. Il pensait que des actions devant les juridictions internationales avaient des chances d’aboutir, dès lors que la vérité éclaterait au grand jour. Il ignorait fondamentalement le dessous des choses politiques, et la férocité des pays prédateurs. Un grand précurseur, qui méritera d’avoir son nom dans toutes nos villes, dans tous nos villages, y compris le moindre, lorsqu’on aura compris quel homme il a été.

ARTICLE EN COURS DE REDACTION.

 

AVIS SOLENNEL A LA FRANCE : LES FALSIFICATIONS DE NOTRE HISTOIRE NATIONALE BRETONNE : C’EST TER-MI-NE !

L’hégémonie totalitaire de l’Etat français sur l’histoire imposée aux enfants dans les écoles bretonnes et aux étudiants  est terminée. L’enseignement de notre histoire nationale est depuis plusieurs années ôtée d’autorité aux faiseurs de programmes de Paris : Internet a pris la relève depuis dix ans. Personne n’accorde plus le moindre crédit aux complices de Paris.

BREIZH EXIT La Libération est pour demain !

Commentaire d’un Nantais, grand Breton, grand Patriote  : « A la libération, on les pendra ! ».

L’histoire de France n’est pas notre histoire, c’est celle d’un pays étranger. La jeune génération bretonne ne veut plus de cette histoire là : elle veut avoir accès à la sienne.

 

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L’identité nationale est une chose à laquelle tout être humain est attaché d’une manière fondamentale, comme étant une partie essentielle de sa personne. Les colonisateurs le savent tellement bien, qu’ils utilisent tous les mêmes moyens pour l’extirper de leur conscience, pour fondre leurs victimes de force dans leur population, et les transformer en sujets, c’est-à-dire en assujettis; on croirait qu’ils se sont échangé les recettes pour parvenir à leurs fins meurtrières :

  • La langue nationale, persécutée, est détruite par des moyens multiples; son usage est puni, son enseignement et sa transmission  sont interdits; la langue du colonisateur est imposée dans les écoles, dans l’administration, dans les lieux publics.
  • Les colonisés sont méprisés, diminués, vilipendés, humiliés, injuriés, insultés.
  • Les lois du colonisateur sont imposées comme obligatoires, aux dépens des lois locales, même si celles-ci sont supérieures en qualité.
  • S’il existe une monnaie nationale, elle est détruite et remplacée.
  • Les patriotes sont éliminés de toutes les fonctions importantes, au bénéfice des collabos, et de ceux qui s’agenouillent devant le conquérant, de gré, de force, où parce que leur survie sociale, personnelle, professionnelle, ne leur laisse aucun autre choix.
  • Bien sûr, les institutions politiques des populations locales sont abolies.

La principale composante de l’identité d’un peuple, est l’histoire commune, vécue ensemble par sa population. Si les Anglais sont Anglais, si les Ecossais sont Ecossais, si la Catalans sont Catalans, c’est parce que pendant de longs siècles, ils ont partagé les mêmes joies, les mêmes succès, les mêmes épreuves surtout .

La France, dont on sait maintenant, en particulier grâce à nos travaux – mais pas seulement les nôtres – résumés dans le Livre bleu de la Bretagne -, que non seulement elle n’a joué aucun rôle dans la création des droits de l’homme, mais qu’elle a détruit les libertés des nations qu’elle a subjuguées; elle a été une sorte d’orfèvre dans l’utilisation cumulée de tous les procédés que nous dénonçons ici.  Ce pays carnassier a fait preuve dans cette singulière matière, d’un art consommé, de talents exceptionnels. S’il y avait une distribution des prix, ce pays autoproclamé « inventeur des droits de l’homme », serait parmi les champions du podium, aux côtés des Arabes du 7ème siècle et des siècles suivants, de la Turquie, de l’Espagne, de la Chine.HistoireDeBretagne03mc3a9lennec-n2_labauleplus_com

L’assassinat d’une nation, et de son corollaire, l’identité nationale, est l’un des pires crimes que les êtres humains puissent commettre. Tuer une nation, c’est assassiner dans sa totalité une très vaste et très vieille famille, celle de tout un peuple partageant la même identité, la même culture, les mêmes valeurs, et la même foi dans cette identité depuis des siècles, souvent davantage. Les manoeuvres d’extirpation de cette identité des cerveaux triturés sont affreusement douloureuses, humiliantes, psychiatrisantes pendant des générations. Les Bretons en témoignent, moi en particulier. Il n’est que de penser à l’oeuvre « civilisatrice » des Espagnols en Amérique centrale et en Amérique du sud, à l’oeuvre « civilisatrice » des colons anglais en Amérique du nord, à celle des Chinois au Tibet. Dans ce genre particulier de destruction des peuples et de leur identité, pour réussir l’exploit, il faut y mettre une perversité singulière, qui relève de la pathologie mentale des nations.

 

L’action « civilisatrice » de la France en Bretagne.

La Bretagne a été envahie par la France en 1492. Les fonctions de premier ministre (le chancelier de Bretagne) ont été abolies en 1493, puis, après la mort quasi providentielle de Charles VIII, rétablies en 1498 par Anne de Bretagne, elles ont été supprimées définitivement en 1533. Une annexion non consentie a été perpétrée en 1532, sous le masque d’un prétendu traité. La monnaie nationale bretonne a été supprimée.  Le gouvernement a été dépossédé de toutes ses prérogatives, et supprimé en 1552, vingt ans après l’annexion, en violation des engagements solennels proclamés par la France, notre marâtre.

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Un pays qui n’a plus de gouvernement, et est assujetti à un Etat étranger ne peut évidemment plus avoir de projet national, ni de destin propre : c’est ce qui nous est arrivé, par la vertu de notre cher voisin de l’Est. Notre déchéance, même si nous avons réussi à maintenir notre économie à flot jusqu’à l’arrivée au pouvoir de Louis XIV et de Colbert, débute en 1532, et se poursuit à l’heure actuelle, dans les conditions que l’on sait. Les députés et les sénateurs sont toujours au service de l’Etat colonial, et se gardent bien de rien faire pour sortir des prébendes qu’on leur sert.

Ignominie suprême, l’histoire nationale des Bretons, peuple beaucoup plus ancien que les Français, non seulement a été interdite, mais remplacée par celle du colonisateur. Des millions de Bretons se croient Français, parce qu’un lavage des cerveaux impitoyable, à partir de 1789, leur a infligé à coups de marteaux sur leurs circonvolutions cérébrales meurtries, cette identité jadis honnie, fondamentalement meurtrière lorsqu’elle n’est pas librement consentie, mais imposée par l’humiliation et par la force. L’identité française, introduite dans nos cerveaux par des infractions et par des violences ininterrompues de 1789 à aujourd’hui, est une gravissime blessure pour notre peuple, à l’égal d’une intervention neuro-chirurgicale, suivie de la greffe d’un cerveau étranger. Sur ce point, je fais partie de ces millions de victimes du pays qui ose s’intituler « patrie » des droits de l’homme. Je parle donc en spécialiste. Je ne suis guéri de ces meurtrissures humiliantes que lorsque j’ai enfin compris la perversité de l’action de notre voisin de l’Est depuis cinq siècles, avec les complicités que l’on sait.

 Pour  autant, je n’ai jamais cédé à aucun sentiment de haine à l’égard des Français : j’accuse exclusivement les gouvernements successifs de la France, dont ils ont eux-mêmes subis les méfaits, et qu’ils vivent au quotidien. Leurs souffrances, alors qu’on suicide leur Nation, par la sottise de leurs gouvernants et de leurs politiques lâches et veules, font mal à voir. La dégradation de la situation a subi un coup d’accélérateur énorme depuis 2012.

Il est temps que nous, Bretons, sauvions ce qui nous reste encore, car nous sommes menacés de périr, la France suicidaire nous entraîne avec elle dans le gouffre.

Les Bretons ont décidé de reprendre en mains l’enseignement de leur histoire : ils ne veulent plus des hérésies qui leur ont été, par lavage des cerveaux, introduites dans leurs esprits.

A partir de 2006, année au cours de laquelle je suis allé dire à Vannes l’impensable – que la Bretagne n’a jamais été réunie de son plein gré à la France, version qui sauvait son amour propre, mais était totalement inexacte -, mais annexée par la force, la concussion, l’achat des collabos de l’époque – étant à vendre, il était facile de les acheter -, et que, dès lors, non réunie à la France par un contrat librement débattu, elle n’a jamais été française, des consciences se sont réveillées peu à peu. La première réaction des jeunes Bretons spécialisés dans l’injure – à défaut d’aucune autre occupation intelligente ou utile a été une découverte stupéfiante … .. On voulait les élever à la Dignité d’hommes. Ils ont réagi en esclaves, se vautrant dans leur condition, ..

L’Université a apporté une contribution surprenante à cette perversion honteuse de notre histoire. Le grand La Borderie, en dépit des erreurs ponctuelles dues à l’insuffisance des documents, de l’analyse politique et juridique des évènements, a été notre dernier grand historien nationaliste, fier de l’être, mais écrasé tout de même par la pression politique ambiante, qui non seulement ne lui permettait pas de tout dire, mais surtout créait dans sa tête une inhibition de pouvoir accéder à l’entière liberté dire exactement ce qu’il pensait. Cet homme foncièrement honnête, ne s’est pas laissé aller à la haine des actes sordides perpétrés dans notre Pays. Il  a préféré transiger, et considérer qu’il avait, faute d’avoir le droit de penser autre chose, deux patries : la grande, appelée France, la petite, celle de son coeur et de ses convictions profondes : la Bretagne. …

 

(A suivre …)

Comme partout ailleurs, on a assisté à ces manipulations répugnantes  : les histoires des vieilles nations périphériques conquises par la France, annexées malgré elles, dans des conditions scandaleuses au regard du droit, de la morale, de la Dignité de la personne humaine …. …

Le mouvement persécutoire des nations périphériques débute – avec une fureur pathologique -, en 1789. Des gens qui n’ont certainement plus la cervelle en place énoncent des phrases étonnantes, monstrueuses, qui vont constituer la mythologie de la France jusqu’à ces toutes dernières années …

Comment-on-ils osé ? Comment ont-ils osé violer des femmes par milliers en Bretagne et en Vendée, jeter des êtres vivants dans des puits, découper des êtres vivants en morceaux, embrocher des enfants sur leurs baïonnettes devant leurs mères, écraser des femmes enceintes sous des pressoirs à raisin, ouvrir leur ventre pour en extraire les foetus et pour en faire des mangeoires pour l’avoine des chevaux ? Quel Breton, sachant enfin cela, ne vomit-il pas devant cette noble nationalité qu’on lui a inculqué par le lavage de cerveaux que le pays des droits de l’homme lui a infligé ?

NOUS NE VOULONS PLUS DE L’HISTOIRE FALSIFIEE et AVARIEE QUE LA FRANCE A IMPOSEE AUX BRETONS, ceux de ma génération en particulier.

Depuis quelques années, outre le mouvement de protestation de plus en plus fort contre ce viol intolérable de notre identité – et de sa destruction, programmée par les imbéciles au pouvoir, et leurs complices,  se dessine un vaste projet encore assez imprécis, mais parfaitement perceptible : renvoyer l’histoire de France dans les cordes, et reprendre en mains notre histoire, sa réécriture, sa diffusion, son enseignement.

Plusieurs revues, de nombreux sites, publient désormais des articles sur notre histoire nationale. Ils sont très lus.

Pour ma part, je vais amplifier le Livre bleu, le compléter par des chapitres entièrement nouveaux, et surtout y mettre des références. J’ai dit ce qu’avait été, avec Pierre LEMOINE, notre projet de 2009 à Bruxelles, et les exigences auxquelles nous avons dû nous plier. Je vais, en somme, ré-écrire l’histoire de la Bretagne, et l’ai déja proposée à cinq ou six sites, qui publieront en même temps les chapitres, pour mettre à la disposition des Bretons une histoire non falsifiée. Serez vous de la partie ?

Les principaux chapitres sont déjà en place. 

A ce jour, on peut considérer que notre histoire est réécrite, presque dans son entier.

Vous l’avez lue, en version abrégée, dans le Livre bleu de la Bretagne, et dans mes deux blogs. Il ne reste plus guère qu’à développer les chapitres qu’il a été nécessaire, à ce stade, de condenser et d’édulcorer. Ils seront donc rétablis dans leur intégrité, et enrichis d’un appareil de références très copieux. Ils paraîtront dans les sites qui ont déjà donné leur accord pour les publier. D’autres vont suivre. Aucune distinction ne sera faite selon la couleur politique des sites en cause : ces divisions stupides qui infectent ce que l’on dénomme « le mouvement breton » ( quel mouvement ????) sont la cause de notre statut actuel : l’esclavage, la honte, la ruine économique.

 

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Pour lire le LIVRE BLEU DE LA BRETAGNE : tapez dans Google : Livre bleu de la Bretagne. Compléter cette lecture par l’article : « Les armées de la liberté en Bretagne ».

Sur la colonisation de la Bretagne, l’article fondamental : « La colonisation de la Bretagne, de 1532 à nos jours ».

 

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