VIII - 4 - BIBLIOGRAPHIE

30/09/2019 22:33

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3.    ii CHÉDEVILLE (André) et GUILLOTEL (Hubert), La Bretagne des Saints et des Rois (5ème – 10ème

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4.    iii PLANIOL, tome I, 154.

5.    CHÉDEVILLE et GUILLOTEL, 56 et suivantes, 103 et 202.

6.    iv CHÉDEVILLE et GUILLOTEL, 54.

FLEURIOT (L.), Les origines de la Bretagne. 178 à 196.

7.    v CHÉDEVILLE et GUILLOTEL, 60.  J. LOTH observe que " dès le milieu du sixième siècle, ils sont assez forts pour braver la puissance des Francs", L'émigration bretonne en Armorique. 177.

8.    vi LOTH (J.), L'émigration bretonne en Armorique. 177.

9.    vii CHANAO, ou CONOO, ou CONOMER. Voir CHÉDEVILLE et GUILLOTEL, 61.

10.  viii Ce Conomer est, selon J. Loth (177) la même personne que Chanao.

11.  ix CHÉDEVILLE et GUILLOTEL, 61.

12.  x L'ambassade comprend Namatius, évêque d'Orléans, Bertrand, évêque du Mans, plusieurs comtes et autres hommes magnifiques du royaume de Clotaire, fils du Roi Chilpéric.

13.

14.  .

15.  xi Ce n'est qu'à la fin du quinzième siècle que le rapport des forces s'inversera d'une manière définitive au bénéfice de la France.

16.  xii CHÉDEVILLE et GUILLOTEL, 58.

17.  xiii Il semble que la marche de Bretagne n'ait été organisée qu'à la fin du huitième siècle ; Eginhard est le premier à y faire mention, dans le passage célèbre relatant la mort de Roland : voir plus loin. Chédeville et Guillotel soulignent qu'il est impossible de déterminer avec précision la frontière britto-franque pour plusieurs raisons ; la principale étant que le peuplement de la partie "romane" a été progressif, et qu'il s'est fait d'une manière inégale selon les régions, les Bretons et les Francs coexistant – plus ou moins pacifiquement – (104). Dans les zones bretonnes ont probablement subsisté des "enclaves romanes" (Guillotel, 108) dont les habitants ne se considéraient pas comme Bretons.

18.  xiv PLANIOL, Tome 1, 181.

19.  CHÉDEVILLE et GUILLOTEL, 68.

20.  xv


 

21.  xvi Voir également : MORICE, Tome I, 203

22.  xvii Annales de Metz. Voir aussi la BORDERIE, Tome I, 499. Bien entendu, le rédacteur – franc – de ce texte en porte l'entière responsabilité. Ce qu'il affirme quant à la "soumission" des Bretons et quant à

leur "rébellion", n'engage que lui et ne vaut pas preuve.

23.  xviii EGINHARD, Vie de Charlemagne. 9.

24.  xix K.F WERNER, 409.

25.  xx CASSARD (J.C.), Les Bretons de Nominoë. 11.

26.  xxi CASSARD (J.C.), 12.

27.  xxii CHÉDEVILLE et GUILLOTEL, 202 et suivantes.

28.  EGINHARD, Vie de Charlemagne. chapitre 9 ; Roland est désigné comme "Hruodlandus britannici limitis praefectus".

29.  xxiii La BORDERIE, Tome II,  3.

30.  xxiv Annales du royaume Franc, année 811. La BORDERIE, Tome II, 5.

31.  xxv La BORDERIE, Tome II,  23.

32.  xxvi La BORDERIE, Annales d'Eginhard. 24.

33.  xxvii Voir aussi les extraits des annales d'Eginhard reproduits par La Borderie, Tome II, 24 et 25.

34.  xxviii L'Astronome, vie de Louis le Pieux, cité par La BORDERIE, Tome II, 25.

35.  xxix Les historiens bretons du quinzième siècle, en particulier, Alain Bouchart (67) ont voulu en faire

"l'un des plus prochains de la ligne des rois de Bretagne". Voir CHÉDEVILLE et GUILLOTEL, 231et

232, et J.C CASSARD, 31.

36.  xxx CHÉDEVILLE ET GUILLOTEL, 229.

37.  xxxi Voir La BORDERIE, Tome II, 27, 28, 30, 38, 39, 58.

38.  CHÉDEVILLE et GUILLOTEL, 233, 234, 235….

39.  Cartulaire de Redon, n° 4, 5, 7, 11,  27, 41, 79, 97, 123, 148, 177, 179, 180, 194, 199, 249, 250, 251,

252, 264,

40.  xxxii MAILLET (J.), Histoire des institutions. Paris, 1956, 578 et suivantes.

41.  xxxiii Les comtes dépendaient directement du roi, la tendance se développa à grouper plusieurs comtes sous l'autorité d'un agent supérieur, le Duc. Une telle fonction resta longtemps épisodique, temporaire et particulière à certaines régions ; la fonction de Duc était principalement militaire et restait temporaire ; on la supprimait une fois le besoin passé. MAILLET (J.), Histoire des institutions. Paris, 1956, 579.

42.  xxxiv NITHARD, Histoire des fils de Louis le Pieux. Paris, 1964, 13.

43.  xxxv NITHARD, Histoire des fils de Louis le Pieux. Paris, 1964, 53.

44.  xxxvi La BORDERIE, Tome II, 46.

45.  CASSARD (J.C.), 46.

46.  xxxvii Voir cependant, l'allusion contenue dans la lettre adressée à Nominoë en juillet-août 850 par les évêques Francs : "Par amour de la paix, le seigneur notre Roi avait, à ton instigation même, éloigné (Lambert) de tes frontières et l'avait investi d'autres charges". Ce passage est généralement interprété

comme étant l'une des causes du traité de 846 : c'est à la demande de Nominoë que Lambert aurait été nommé comte d'Anjou et abbé de Saint Aubin d'Angers, et ainsi éloigné de la Bretagne.

47.  xxxviii CHÉDEVILLE et GUILLOTEL, 266.

48.  CASSARD (J.C.), 48,

49.  La BORDERIE, Tome II, 59 ; notes 2 et 3.

50.  xxxix Cité par Chédeville et Guillotel (266) et par J.C Cassard (48), sans indication de source.

51.  xl La BORDERIE, tome II, 60, Chédeville et Guillotel, 273.

52.  xli La BORDERIE, Tome II, 60.

53.  xlii A. De La Borderie, Tome II, 52 et suivantes ; 62 et suivantes ; 95 et suivantes.

54.  B.A Pocquet du Haut-Jussé, Les papes et les ducs de Bretagne, 13 et suivantes.

55.  J.C Cassard, Les Bretons de Nominoë, 200 et suivantes.

56.  xliii Gesta S.S. Roton. II, 10 ; Morice I, preuves , 253.

57.  xliv Selon la chronique de Nantes, il était chargé d'une mission plus importante : demander au Pape l'autorisation de porter le titre de roi. Rien n'exclut que cela ait pu être le cas, mais aucune preuve n'en subsiste, la lettre de Nominoë au Pape n'ayant pas été conservée (voir Morice I, 37 et 38).

58.  xlv En 866, le Pape Nicolas 1er écrivant au Roi Salomon de Bretagne confirme qu'il est prêt à recommencer les procès des évêques simoniaques, devant douze évêques, présidé par l'Archevêque de Tours (Morice I, preuves, 317).

59.  xlvi Nicolas 1er écrivant le 15 mai 866 à Festinien, évêque de Dol, revient très clairement sur cette nécessité: " vous qui n'avez que sept évêques, surtout quand il est prescrit qu'un évêque doit être jugé non pas par sept mais par douze de ses collègues… si une telle occurrence se présente chez vous, vos


 

divisions avec le royaume voisin vous empêchant de vous adjoindre des évêques de ce pays, il y a là un danger pour l'ordre ecclésiastique" (Morice, Preuve I, 320).

60.  xlvii Chronique de Nantes, CAP. 11, Edition Merlet, 37.

61.  xlviii La Borderie, 100.

62.  xlix Vers 511 – 520, les évêques d'Angers et de Rennes, ainsi que Métropolitain de Tours, écrivent à

deux prêtres Bretons une lettre agressive, dans laquelle ils dénoncent la pratique des Bretons d'aller " de cabane en cabane, sacrifier le divin sacrifice de la messe, sur certaines tables" (des hôtels de bois), et les somment d'y renoncer. Pire : les Bretons osent associer au divin sacrifice de la messe, des femmes, appelées conhospitae , ce qui apparaît à ces francs, violents anti-féministes, comme " une nouveauté, une superstition inouïe" , une pratique qu'on ne peut " entendre ni prononcer sans une certaine frayeur d'âme propre à diffamer le clergé et à jeter la honte et le discrédit sur notre sainte religion" (sic !).

63.  l Planiol, Tome I, 199 et suivantes. Concilia Galliae, Edition de Clercq, Tournais, 1963, 179.

64.  li La Borderie, Tome II, 100, note 1, peu après la bataille de Ballon.

65.  lii Morice, Preuves, I. 309.

66.  liii La Borderie, Tome II, 95 et 96. Morice, Preuves, I. 321.

67.  liv La Borderie, Tome II, 97. Morice, Preuves, I. 317.

68.  lv Morice, Preuves, I. 323. La Borderie, Tome II, 99.

69.  lvi La Borderie, Tome II, 56. Morice, Preuves, 317.

70.  lvii Les sources sont perdues. C'est Le Baud qui décrit cette dernière campagne dans son histoire de

Bretagne (111).

71.  lviii La Borderie, Tome II, 66 et 67.

72.  lix Morice, Preuves, I, 140. Planiol, Tome II, 27. La Borderie, Tome II, 58.

73.  lx Chronique de Nantes, chapitre 11, Edition Merlet, 39. Le Baud, 109.

74.  lxi Dans ce sens, voir Chédeville et Guillotel,    ; J.C Cassard,    . Planiol considère (Tome II, 28) que le sacre de Nominoë ne peut être mis en doute, sans justifier son opinion. F. Lot est très septique sur toute l'affaire (Mélanges d'histoire bretonne, 82).

75.  lxii La Borderie, Tome II, 58 .

76.  lxiii Réginon de Prun relatant sa mort écrit : "Nominoë, Roi des Bretons, meurt"(La Borderie, Tome II,

70).

77.  lxiv Morice, Preuves, I, 317. La Borderie, Tome II, 56.

78.  lxv La Borderie, Tome II, 65.

79.  lxvi J.C Cassard, 50 et 51.

80.  lxvii On dispose de jugements multiples sur sa personne, tous suspects :

81.  - Annales de Saint Bertin (année 844)

82.  - Lettre synodale adressée à Nominoë par les évêques en 850 (Loup de Ferrières, Correspondances, Tome II, Paris 1964, 57)

83.  - Geste des Saints de Redon

84.  - Chronique de Réginon de Prun

85.  - Annales d'Angoulême et d'Aquitaine.

86.  Tous les jugements postérieurs sont suspects, en particulier, ceux d'Alain Bouchart (Les grandes chroniques de Bretaigne, 67), de Pierre Le Baud (Chapitre XIV, 83), de d'Argentré. Les envolées lyriques de La Borderie sont absurdes : " Ce qui est plus remarquable encore, peut-être, c'est l'enchaînement logique des actes et des pensées, des dessins et des exploits de ce grand homme. On y reconnaît cette unité puissante et forte, caractère des génies de premier ordre… Après Dieu, le génie seul sait maîtriser à ce point les circonstances et plier ainsi les faits extérieurs à son vouloir…"etc (Tome II, 66 et 67).

87.  lxviii La Borderie, Tome II, 73 et suivantes. Planiol, Tome II, 29 et suivantes. J.C Cassard, 57. Chédeville

et Guillotel,

88.  lxix La Borderie, Tome II, 70.

89.  lxx Annales de Fontenelle.

90.  lxxi Réginon de Prun.

91.  lxxii La Borderie, Tome II, 51. Chédeville et Guillotel,     J.C Cassard,

92.  lxxiii Saint SIMON, Traités politiques et autres écrits. Paris, 1996, 1 342 : " La Bretagne relevait directement du Duché de Normandie, et médiatement par elle de la Couronne. Bien loin donc que les comtes de Bretagne ne fissent que des princes dans toutes leurs branches, personne n'ignore quelle était alors, et longtemps depuis, l'extrême disproportion de rang et de fonction des vassaux immédiats de la Couronne d'avec les vassaux médiats, qui, quelques grands qu'ils fussent, ne possédaient que des arrière-fiefs."

93.  lxxiv La FONTAINE (Jean de), Le chartier embourbé.


 

94.  lxxv BALZAC (Honoré de), Les chouans

95.  Auguste ROMIEU, Sous-préfet de Quimperlé : " Créons, pour l'amélioration de la race bretonne, quelques-unes de ces primes que nous réservons aux chevaux … La basse Bretagne, je ne cesserai de le dire, est une contrée à part, qui n'est plus la France ; exceptez-en les villes, le reste doit être soumis à une sorte de régime colonial". Toute l'histoire de la Bretagne. Morlaix, 1996.

96.  lxxvi PRADEL (Pierre), Anne de France (1461 – 1522). Paris, 1986 : " L'une après l'autre les provinces

rentraient au bercail depuis un siècle, par extinction des races ou tractations diplomatiques : la Bourgogne, l'Anjou, la Provence, le Roussillon sous Louis XI ; la Bretagne, l'Orléanais et le Blésois, par l'avènement de Louis XII ; l'Angoumois par celui de François. Certes, il demeurait au cœur des Valois comme une plaie lancinante, le souvenir des possessions, Artois, Flandres, Franche-Comté

Mais c'était là régions excentriques à récupérer par guerre ou mariage" (sic).

97.  lxxvii LEGUAY (Jean Pierre) et MARTIN (Hervé), Fastes et malheurs de la Bretagne ducale (1213 –

1532). Rennes, 1982 ; chapitre " Les illusions de l'indépendance ", 397 et suivantes.

98.

99.

100.lxxviii La chronique de Saint Brieuc a été rééditée à Rennes en 1972 et préfacée par L. FLEURIOT.

101.RIO (Joseph), Mythes fondateurs de la Bretagne. Rennes, 2000, 119.

102.lxxix Cette œuvre a été publiée dans Dom MORICE ; Preuves, II, 306.

103.lxxx Ces analyses, excellentes, sont reprises par Pierre Le BAUD, Alain BOUCHART, d'ARGENTRÉ.

104.lxxxi BIZEUL, Introduction à la réédition des grandes chroniques de Bretaigne. Nantes, 1896.

105.

106.lxxxii MORICE, III, 781.

107.lxxxiii BIZEUL, Introduction précitée : "La dessus dict dame, royne de France et Duchesse de Bretaigne, a veu et fait lire en sa présence ce que jà en avions fait, et puis après nous a expressément enchargé et commandé, tant de bouche, que par ses lettres missives, iceluy ouvrage parfaire en toute diligence".

108.lxxxiv DU FAIL (Noël), Propos rustiques, contes et discours d'Eutrapel. Paris, 1856.

109.lxxxv On le voit, par exemple, en 1535 au mariage de Guy XVII, comte de Laval, avec Claude de Foix

(BERTRAND de BROUSSILON, tome 4).

110.lxxxvi Sur les réformes de la coutume, voir PLANIOL, V, 193.

111.lxxxvii P. HÉVIN, Consultations, 11.

112.lxxxviii Sur la vie de Pierre d'Argentré : Noël Du FAIL, référence ci-dessus.

113.LOBINEAU, I, 843.

114.KERVILER, Bibliographie, Tome 1. Rennes, 1988, 259.

115.

116.lxxxix PLANIOL, V, 48, 211 …" Le roi Charles advisa … d'insérer et mesler des conseillers et officiers de la nation françoise parmy les Bretons pour y estre plus aisément les choses passées et y avoir des hommes de sa forge". ARGENTRE (Bertrand d'), Histoire de Bretaigne, édition primitive, 1 146.

117.xc PLANIOL, V, 41.

118.xci Chronicon Briocense. Rennes, 1972, 62, 63.

119.xcii Préface au Roy.

120.xciii Page 12, V.

121.xciv Edition de 1588, page 21.

122.xcv Page 14.

123.xcvi Pages introductives.

124.xcvii Morice, III, 343, 466, 186, 187

125.xcviii Le prétexte de l'invasion de la Bretagne fut que plusieurs des vassaux importants de Charles VIII (ses

126."malveillants") étaient venus chercher refuge en Bretagne, en particulier Louis d'Orléans, alors héritier de la couronne de France. Morice (II, 247) reprendra ce grief : " sous le prétexte spécieux de poursuivre ce Prince rebelle [Anne de Beaujeu] porta le fer et le feu en Bretagne, et réduisit bientôt le duc François II à conclure une paix honteuse qui mettoit ses États à la discrétion de la France".

127.xcix Page 1 126.

128.c Page 1 127.

129.ci Page 1 166.

130.cii Edition de 1583,  1 168, 1169.

131.ciii Nous reviendrons sur ce point dans le chapitre correspondant.

132.civ PLANIOL, V, 13 et 36.

133.cv Du PAZ, Histoire généalogique, 700.


 

134.D'Argentré possédait une immense bibliothèque de 3000 volumes ; ce qui restait fut recueilli par sa petite-fille, Calliope d'Argentré.

135.cvi PICOT (Georges), Histoire des États généraux. Paris, 1979, I, 359. Le roi suscitait une telle terreur

qu'on avait pu dire que même les arbres avaient peur de lui.

136.cvii PLANIOL, V, 13.

137.cviii B.N., plaquette L 9, folio 8, 95. Réédition des Remonstrances de la Guesle, 1611, Inventaire, F. 13

814, 204.

138.cix Un exemplaire de cet ouvrage se trouve à la bibliothèque Mazarine, sous la cote 17.675.

139.cx CROIX (Alain), L'âge d'or de la Bretagne (1532 – 1675). Rennes, 1993, 42. J. BALTEAU écrit : "

Ce jurisconsulte érudit, scrupuleux, ne montre nullement ses qualités dans son œuvre historique. On lui reproche … l'absence de recherches, le manque de sens critique, même la crédulité …on le consulte encore quelquefois par curiosité…".

140.cxi BEAUNE (Colette), Naissance de la nation France. Paris, 1985.

141.CITRON (Suzanne), Le mythe national. Paris, 1989.

142.AMALVI (Christian), De l'art et la manière d'accommoder les héros de l'histoire de France de

Vercingétorix à la Révolution. Paris, 1988.

143.cxii Autres exemples : pseudo-vente de ses prétendus droits par Nicole de Bretagne à Louis XI pour une somme de 50 000 écus ; dépossession de la princesse Renée de son héritage par son beau-frère, François Ier…Les historiens traditionnels racontent ces évènements ; les juristes les interprètent, et concluent à leur nullité.

144.cxiii Tous ceux qui ont écrit sur les Bretons (Chateaubriand, Renan, Brekelien…) ont souligné le caractère sentimental des Bretons, leurs réactions affectives vives.

145.cxiv Bibliographie. Dom Morice et Dom Taillandier, Histoire ecclésiastique et civile de Bretagne, avertissements et préface des cinq tomes. Réédition Paris, 1974.

146.MEYER (Jean), Les difficultés de l'histoire bretonne au 18ème siècle, préface à la réédition de l'histoire ecclésiastique et civile de Bretagne de Dom Morice. Paris, 1974.

147.SAINT- SIMON, Mémoires. Paris, 1954, II, 711-712 ; collection la Pléïade.

148.SAINT-SIMON,  Traités politiques et autres écrits. Paris, 1996.

149.PLANIOL (Marcel), Histoire des institutions de la Bretagne, Tome V, 41.

150.La BORDERIE (Arthur de), Correspondances historiques des Bénédictins bretons et autres documents inédits relatifs à leurs travaux sur l'histoire de Bretagne, publiées avec notes et introduction. Paris,

1981.

151.cxv A cet égard, Dom Morice, dans l'avertissement de son Histoire, écrit : "Nicolas Vignier, historiographe de France … triompha dans son cabinet de l'historien breton, et s'imagina que personne ne pourroit lui répondre ; les découvertes que l'on a faites depuis, nous ont appris que Vignier s'était fait des monstres pour avoir le plaisir de les combattre et la gloire de les avoir vaincus…".

152.cxvi L'un des exemplaires imprimés en 1583 se trouve à la bibliothèque Mazarine : c'est celui que nous avons utilisé pour nos recherches.

153.cxvii POCQUET (B.), Histoire de Bretagne. V, 19.

154.cxviii MORICE. III, 1035 à 1038. Le parlement suggéra une autre rédaction qui fut acceptée par le roi.

155.cxix REYDELLET (Chantal), Les pouvoirs du Dauphin Henri en Bretagne (1536 – 1547). Mémoires

S.H.A.B. 1991, 233 à 246.

156.cxx POCQUET (B.), Histoire de Bretagne, Tome 5, 59.

157.cxxi PLANIOL, V, 28, 29, 89 et suivantes.

158.cxxii Exemple : MORICE, III, 1038 ; le parlement de Paris déclare, une fois de plus, que "la duché de Bretagne, membre de nostre Couronne, par nous unie et incorporée à icelle, à la resqueste et supplication des trois estats dudit pays de Bretaigne, au grand bien et profit de nostre couronne et de nostre filz, et de nosdits sujets en ladite duché de Bretaigne"

159.cxxiii REBILLON (Armand), Les États de Bretagne de 1661 à 1789. Paris, 1932.

160.Le MOY (A.), Remontrances du Parlement de Bretagne au 18ème siècle. Paris, 1909.

161.Le MOY (A.), Le Parlement de Bretagne et le pouvoir royal au 18ème siècle. Paris, 1909. En 1764, par exemple, le roi, écrivant au parlement, lui rappelle qu'il " ne doit jamais lui laisser oublier …son ancienne et première dépendance de ma couronne".

162.cxxiv POCQUET (Barthélemy), Histoire de Bretagne, V, 89.

163.PLANIOL, V, 46 et suivantes.

164.cxxv POCQUET (Barthélemy), Tome V, 434 et 444, 446, 461.

165.cxxvi POCQUET (Barthélemy), V, 464 : liste des vingt édits nouveaux établis de 1670 à 1673.

166.cxxvii Le procédé était général, et ne s'appliquait pas seulement à la Bretagne. Louis XIV en fait l'aveu : " Les pays d'État qui, en matière d'impositions, s'étaient autrefois estimés comme indépendants,


 

commencèrent à ne plus se servir de leur liberté que pour me rendre leur soumission plus agréable… l'usage avait été jusqu'alors non seulement de leur demander de grandes sommes pour en obtenir de médiocres, mais aussi de souffrir qu'ils missent tout en condition, de leur tout promettre, d'éluder bientôt après sous différents prétextes tout ce qu'on leur avait promis, de faire même un grand nombre d'édits sans autre dessein que de leur en accorder, ou plutôt de leur en vendre la révocation bientôt après". In Michel DEON, Louis XIV par lui-même. Paris, 1983.

167.cxxviii De La BORDERIE (A.), Les bonnets rouges. Paris, 1965, collection 10 18. En 1672, le budget de

la France avait dépassé quatre vingt sept millions.

168.cxxix De La BORDERIE (A.), Les bonnets rouges. Précité. Voir aussi les lettres écrites par Madame de

Sévigné en 1675.

169.cxxx HÉVIN, juriste de grande valeur, a publié plusieurs ouvrages dont certains assez remarquables. Les Questions féodales et les Observations sont des recueils de consultations et de plaidoiries inégales publiés après sa mort. Il a également publié des travaux de valeur sur l'Assise au comte Geffroy et des Consultations.

170.cxxxi Dom MORICE, I, Avertissement, 10.

171.cxxxii Les Rohan, peu satisfaits de certains chapitres de l'Histoire de Don Lobineau, eurent l'idée d'une histoire généalogique de leur famille. Ils s'adressèrent à l'ordre des Mauristes, qui désigna Dom Morice. Le projet, de proche en proche, se transforma ; il parut plus habile de noyer les récriminations des

Rohan dans une histoire générale de la Bretagne : voir Jean MEYER, article précité.

172.cxxxiii Jean MEYER écrit que la désignation de Dom Taillandier ne posa pas de difficultés ; version douteuse, attendu que les Bretons s'ingénient à créer des difficultés là où il n'y en a pas.

173.cxxxiv SAINT-SIMON, Mémoires, Tome 2, 711 et 712. L'auteur ajoute : " L'abbé de Caumartin, mort évêque de Blois, à qui le moine disoit tout, me l'a conté dans le temps, outre que la chose devint publique".

174.cxxxv MORICE, IV, 8, 9, 10.

175.cxxxvi Dom LOBINEAU, I, 734.

176.cxxxvii Dom MORICE, II, 210 et 211

177.cxxxviii Dom MORICE, II, 219.

178.cxxxix Dom MORICE, II, 252.

179.cxl Dom MORICE, II, 253.

180.cxli Voir plus loin page          .

181.cxlii Dom MORICE, II,  247.

182.cxliii De la même manière, MORICE rappelle que "cette princesse [Anne de Bretagne] par son contrat de mariage avec Charles VIII, lui avait fait donation du Duché pour lui et pour ses successeurs ; elle avait confirmé cette donation à Louis XII lorsqu'elle épousa ce prince, avec cette différence cependant, qu'il étoit stipulé dans le contrat de mariage, que si la reine ou l'aîné de ses enfans avaient plusieurs garçons, le Duché appartiendrait au second ; et que s'il ne restoit point d'enfans de leur mariage, les

plus prochains héritiers rentreroient dans leur droit de succession".

183.cxliv LOBINEAU, I, 939

184.MORICE, II, 248.

185.cxlv Il est vrai que Morice reproduit dans le tome III des Preuves plusieurs pièces se rapportant au procès que Renée fit à la monarchie française à son retour d'Italie, pour avoir été dépossédée de son héritage. Voir : MORICE, III, 1 372 et suivantes.

186.cxlvi MEYER (Jean), article précité, 12.

187.cxlvii Vertot écrivit un "Traité historique de la mouvance de Bretagne dans lequel on justifie que cette province, dès le commencement de la Monarchie française, a toujours relevé immédiatement en arrière-fief de la couronne de France…"

188.L'abbé des Thuileries donna à l'un de ses ouvrages le titre : "Dissertation sur la mouvance de Bretagne, par rapport au droit que les ducs de Normandie y prétendaient…".

189.cxlviii Chevalier de FONTETTE, Correspondances, 292.

190.cxlix Cité par PLANIOL,

191.cl Il comprenait un premier président, trois présidents, trente deux conseillers, un procureur général, deux avocats du roi, deux greffiers. Les présidents, seize conseillers et l'un des avocats du roi étaient non originaires. Les évêques de Rennes et de Nantes y avaient séance et voix délibérative. Voir PLANIOL, V, 214.

192.cli Ces douze millions se décomposent de la manière suivante (A.N., K. 1151, n°19, folio 33 v°) :

193.- Impositions et droits levés au nom du roi : près de six millions ;

194.- Sommes que les États lui payent (don gratuit, capitation, dixième, milices, etc…) : cinq millions six cent sept mille cent trente six livres ;


 

195.- Sommes payées par les États à la décharge du roi pour différents services publics : sept cent quatre vingt sept mille sept cents livres.

196.clii NECKER, Administration des finances, Tome 1, 35. La moyenne des charges publiques dans le

Duché s'élevait seulement à 11 livres par habitant, à 13,8 livres par lieue carrée, contre 19 livres et 17 livres pour l'ensemble du royaume (A. REBILLON, Les États de Bretagne. Paris, 1932).

197.PLANIOL, V, 90.

198.cliii Les violations du traité de 1532 ont donné lieu à des travaux importants, en particulier : A.

REBILLON, Les États de Bretagne de 1661 à 1789, Paris, 1932 ; A. LE MOY, Remontrances du Parlement de Bretagne au dix huitième siècle, Paris, 1909 ; A. LE MOY, Le Parlement de Bretagne et le pouvoir royal au dix huitième siècle, Paris, 1909 ; Yves BONVALLET, Des contraventions au traité d'union entre la Bretagne et la France de 1532 à 1715, Paris, 1942.

199.cliv FANCH BROUDIC, L'interdiction du breton en 1902, la troisième république contre les langues

régionales. Spézet, 1997.

200.clv Ce phénomène a été bien étudié par les psychiatres Bretons depuis une génération.

201.clvi Bibliographie.

202.KERVILER (René), Bio-bibliographie bretonne, tome 2.

203.clvii Ces ouvrages ont été réédités en 1998.

204.clviii Tome 2, 62, 63, 85, 88…De même exalte t-il Nominoë dans des termes excessifs : Tome 2, 66, 71.

205.clix Tome 4, 13 et suivantes, 23.

206.clx   Tome 2, 441.

207.clxi POCQUET du HAUT JUSSE (B.A), Les papes et les ducs de Bretagne. Spézet, 2000.

208.clxii Tome 5, 1, 2, 14 et suivantes.

209.clxiii Les États en 1524 le prièrent avec un certaine rugosité de ne plus porter le titre de duc, mais seulement celui de "Père et légitime administrateur de son fils le duc de Bretaigne".

210.clxiv Histoire de la Bretagne, tome 4, 2 et 11.

211.clxv Tome 5,  5

212.clxvi Tome 4, 581.

213.clxvii Tome 4, 383.

214.clxviii Pocquet fait partie de ces historiens qui croient à la France éternelle, et qu'elle a toujours été hexagonale, au moins en devenir.

215.clxix Tome V, 22.

216.clxx M.S.H.A.B. Tome 58, 1981, 117 à 123.

217.clxxi Notamment, lorsque les hauts seigneurs de Bretagne, en rupture de ban avec leur duc, se réfugièrent en France en 1484, et proposèrent la couronne de Bretagne au roi de France, il fut décidé que ce ne

serait qu'une union provisoire, et que, au cas où le roi eût plus d'un fils, " l'un d'eux succède à ladite

Duché de Bretagne, ainsi que par lesdits Seigneurs et États sera avisé".

218.clxxii D'autres que nous ont fait la même observation : Planiol, tome V, 14 : "A. Dupuy, qui est très explicite sur les évènements antérieurs à 1500, ne consacre guère que la moitié d'un chapitre au règne

de Louis XII, et quatre pages seulement à celui de François Ier".

219.clxxiii L'Angleterre, dont les intérêts étaient étroitement liés à ceux de la Bretagne, réalisa trop tard ce qui s'était passé, et le regretta. Voir notamment Morice, III, 734.

220.clxxiv On notera le bonheur de cette formule lapidaire : un État indépendant et vassal.

221.clxxv A. DUPUY¸ Tome II, 287.

222.clxxvi Un singulier monument fut édifié à Rennes : il figurait la Bretagne à genoux devant la France, sous les traits d'Anne de Bretagne et de Louis XII. Des explosifs firent sauter ce monument.

223.clxxvii MORICE, III, 1010.

224.clxxviii Archives d'Ille-et-Vilaine, C. 2857.

225.clxxix MORICE, III, 1446 : édit sur les remonstrances des Estats.

226.clxxx Archives d'Ille-et-Vilaine, C. 2884, folio lXX.

227.clxxxi PLANIOL, V, 26.

228.clxxxii Archives d'Ille-et-Vilaine, C. 3150 à 3157. Le contrat de 1667, par exemple, est intitulé : " Contract passé en la ville de Vennes en l'année 1667 entre Messieurs les commissaires du Roy et Messieurs des États de Bretagne…" .

229.clxxxiii Archives d'Ille-et-Vilaine, C. 3154 ; contrats de 1693, 1724, 1697.

230.clxxxiv Notamment en 1675, au cours de la révolte des bonnets rouges.

231.clxxxv BONVALLET (Yves), Des contraventions au traité d'union entre la Bretagne et la France de

1532 à 1715. Paris, 1942, 237.

232.clxxxvi SÉE (H.) et LESORT (A.), Cahiers de doléances des sénéchaussées de Rennes pour les États généraux de 1789. Paris, 1909 – 1914.


 

233.SAVINA (J.) et BERNAR (D.), Cahiers de doléances des sénéchaussées de Quimper et de Concarneau pour les États généraux de 1789. Paris, deux volumes.

234.clxxxvii Sur les cahiers de doléances, voir aussi Armand REBILLON,  Les États de Bretagne. Paris, 1932.

" Dans le tiers, personne ne désirait la destruction des États, bien loin de là. L'on ne paraissait même pas supposer, au moment où s'ouvrait leur dernière session, que leur réforme pût entraîner une diminution de leurs pouvoirs, et mettre en cause les franchises de la province".

235.clxxxviii SOBOUL (Albert), La révolution française. Paris, 1996, 160.

236.clxxxix SOBOUL (Albert), 198.

237.cxc DURTELLE de SAINT-SAUVEUR (E.), Histoire de Bretagne, des origines à nos jours. Rennes,

1935, II, 336 et suivantes.

238.cxci De MAUNY (Michel), Les dessous de l'union de la Bretagne à la France (1532 – 1790). Paris,

1986, 127 et suivantes.

239.cxcii BOUCHART (Alain),

240.cxciii NGUYEN QUOC DINH, Droit international public. Paris, 1994, 213 et suivantes : application des traités.

241.ROUSSEAU (Charles), Droit international public. Paris, 1968, 55 et suivantes.

242.cxciv Les traités ont force de loi ; voir ROUSSEAU, ouvrage précité, 59.

243.cxcv NGUYEN QUOC DINH, 216 et suivantes.

244.cxcvi NGUYEN QUOC DINH, 217.

245.cxcvii ROUSSEAU (Charles), Droit international public. Paris, 1968, 67 et suivantes : extinction des traités.

246.NGUYEN QUOC DINH, Droit international public. Paris, 1994, 284 et suivantes : fin des normes conventionnelles.

247.cxcviii De MAUNY (Michel), ouvrage cité, 186.

248.cxcix ROUSSEAU (Charles), Controverse relative à la validité du traité de 1532 consacrant l'union de la

Bretagne à la France, extrait de la Revue générale de Droit International Public. Juillet – septembre

1972, n°3, 76 et suivantes.

249.cc De MAUNY (Michel), ouvrage cité, 187.

250.cci MORICE, III, 999.

251.Sur le terme final comme cause d'extinction des traités, Charles ROUSSEAU, ouvrage cité, 68.

252.La dénonciation du traité d'une manière unilatérale par la France, et son remplacement par un nouvel ordre juridique était impossible, et constituait une voie de fait de nature à engager la responsabilité du royaume (sur ce point, voir Charles ROUSSEAU, ouvrage cité, 69). Lorsque la dénonciation d'un traité est due à une manifestation unilatérale de l'un des contractants, elle n'est plus qu'une voie de fait susceptible d'engager la responsabilité internationale de l'État contrevenant .

253.ccii De MAUNY (Michel), ouvrage cité, 168, 169, 171.

254.cciii Nous n'étudierons pas ici les effets de la règle rebus sic stantibus car cela nous mènerait trop loin.

Les traités tombent naturellement en désuétude lorsque les circonstances qui ont présidé à leur élaboration et à leur conclusion se sont modifiées d'une manière radicale. Ainsi, si un territoire est envahi par la mer, si une île est détruite par les éléments naturels, le traité n'a plus d'objet ; il disparaît donc. On peut soutenir ici que des modifications radicales étaient intervenues dans le régime politique de la France, dans la mesure où la souveraineté avait été transférée du roi à la Nation. Mais au moment où les faits se sont produits (en 1789 et en 1790), le roi n'était pas encore déchu, et régnait encore sur la France. Ces problèmes complexes seront étudiés plus loin.

255.cciv Voir ci-après.

256.ccv MAUNY (Michel de), ouvrage cité, 187.

257.ccvi RENAN (Ernest), Qu'est-ce qu'une nation ? Paris, réédition 1996.

258.ccvii KERHUEL (Marie),  Le traité franco-breton de 1532 et sa violation par la France, plaquette dactylographiée. Mûr-de-Bretagne, 1976. 26 pages.

259.ccviii Les tribunaux français et étrangers sont familiers de ce procédé : la meilleure manière de ne pas être

embarrassé par les questions posées, est de ne pas y répondre ; les magistrats mettent bout à bout quelques sophismes, dont l'ensemble ressemble – pour qui n'est pas familier de cette technique – à une décision judiciaire.

260.ccix Préface de l'ouvrage de Dominique le Page "Finances et politique en Bretagne au début des temps

modernes".

261.ccx On pense que les archives ont été expurgées par la monarchie française.

262.ccxi Même par d'Argentré, qui n'en eut pas le temps, ni d'ailleurs probablement l'audace.


 

263.ccxii D'Argentré, Planiol, Sicard, nous même. Avant la "réunion" les juristes ducaux exprimèrent leur opposition violente aux manœuvres de la France pour s'emparer du Duché. Il y a parfaite continuité dans tous leurs travaux.

264.ccxiii MORICE, II, 247 et 248 ; III, 939, 940, 941.

265.PLANIOL, V, 11 et suivantes.

266.Le PAGE (Dominique), 113, 128, 147

267.NÉRET (Jean-Alexis), Claude de France,  81, 82.

268.ccxiv De MAULDE, Procédures politiques. 800 et suivantes

269.MORICE, III, 794, 799, 808, 809, 813, 815.

270.DREZE (Jean François), Raison d'Etat, raison de Dieu. Paris 1991, 101 et suivantes.

271.ccxv TOURAULT (Philippe), Anne de Bretagne. Paris, 1990.

272.ccxvi DU MONT (Georges-Henri), Marie de Bourgogne. Paris, 1982, 103 et suivantes.

273.

274.

275.ccxvii En Bretagne, les filles n'étaient pas écartées de la succession ; la loi salique ne s'appliquait pas dans le Duché. Sur la transmission de la couronne, voir : Planiol, III, 19 et suivantes.

276.ccxviii MORICE, III, 814.

277.ccxix Sur les biens propres en droit médiéval, voir P.C TIMBAL, Paris, 1960, numéros 116, 308, 351…

278.Philippe de BEAUMANOIR, Coutumes de Beauvaisis, chapitre 14 (n°105).

279.ccxx Voir notamment : MORICE, III, 1373.

280.ccxxi Voir, en particulier : MORICE, III, 810, 866.

281.ccxxii Lors du procès intenté par Renée au Roi de France, à son retour d'Italie après la mort de son mari, elle affirma dans sa requête : "après le décès du feu Roi et de la Reine, se trouva un million d'or en leur succession, avec bagues et autres meubles de très grande valeur" (Morice, III, 1373).

282.ccxxiii Charles III, Comte du Maine et de Provence, et légataire du Roi René pour le royaume de Naples, laissa ce royaume en héritage au Roi de France. La prétention à la propriété du Duché de Milan se

fondait sur le fait que Louis XII était le petit-fils de Valentine Visconti, fille du Duc Galéas Visconti.

283.ccxxiv Dans le traité conclu entre Louis XII et le Duc de Luxembourg pour le mariage de celui-ci avec Claude de France, il s'intitule : " Louis, Roi de France, par la grâce de Dieu, de Naples et de Jérusalem, Duc de Milan, etc…." (Morice, III, 866).

284.ccxxv BRANTÔME, Œuvres complètes, Les dames illustres, article 4.

285.ccxxvi Du MONT, Corps diplomatique, IV, I, 16. Par ailleurs, le roi des Romains promet d'accorder à

Louis XII l'investiture du Duché de Milan, moyennant le versement d'une somme élevée.

286.ccxxvii Du MONT, IV, 27.

287.ccxxviii Du MONT, IV, 55.

288.MORICE, III, 866.

289.ccxxix VARILLAS, Histoire de Louis XII, Tome I, livre IV.

290.Du MONT, IV, 56.

291.ccxxx Du MONT, IV, 60.

292.ccxxxi QUILLIET (Bernard), Louis XII. Paris, 1986, 298.

293.De MAULDE, Louise de Savoie et François Ier. Paris, 1895, 135 et suivantes.

294.ccxxxii MORICE, III, 867.

295.ccxxxiii A.N., J. 951.

296.ccxxxiv LALAING (Antoine de), Cérémonial français.

297.GACHARD,  Collection des voyages des souverains des Pays-Bas. Bruxelles, 1876, Tome I, 123 et suivantes.

298.ccxxxv Sa fille Charlotte, princesse de Tarente, arrière petite fille du Roi Charles VII de France, devint

première demoiselle de la Reine Anne de Bretagne. Celle-ci la fiança à Nicolas de Laval (BERTRAND

de BROUSSILLON, IV, 8).

299.ccxxxvi AUTON (Jean d'), Chronique de Louis XII. Paris, 1889-1895,             .

300.SEYSSEL, Histoire du Roy Loys XII. Paris. 1558, 44.

301.ccxxxvii Lettres de Louis XII, I, 44.

302.Procès verbal des Etats Généraux de 1506.

303.PICOT (Georges), Histoire des Etats Généraux, I, 552.

304.ccxxxviii Cette singulière histoire a fait couler beaucoup d'encre. Elle ne peut être interprétée à l'aune de nos principes moraux contemporains. Les traités de 1501 et de 1504, voulus par les deux parties, avaient un double avantage : sceller la paix entre le Royaume et l'Empire, permettre à Louis XII d'obtenir l'investiture du Duché de Milan. Les actes secrets démentant les clauses des traités les plus solennels n'étaient pas rares à cette époque. Il semble que Louis XII ait usé de ce procédé lorsqu'il fut


 

contraint d'épouser contre son gré la Princesse Jeanne, fille de Louis XI. Dans le cas d'espèce, selon les principes du temps, si choquant que cela puisse nous paraître, il se montrait prévoyant et bon gestionnaire, se réservant en temps utile et selon les circonstances, d'appliquer soit les actes apparents, soit les actes secrets.

305.ccxxxix Du MONT, IV, 88.

306.MORICE, III, 878.

307.ccxl MORICE, III, 852.

308.ccxli MORICE, III, 813.

309.ccxlii MORICE, III, 879 et 880.

310.ccxliii Tout le contexte de l'affaire – en particulier le caractère désastreux des relations entre la Reine et les Angoulême – plaide dans ce sens.

311.ccxliv BELLAY (Martin du), Mémoires, livre I, 1514.

312.ccxlv BRANTOME, Les dames illustres, 211 et 212, Article 4.

313.ccxlvi BELLAY (Martin du), Mémoires, livre I, année 514.

314.ccxlvii BRANTOME, Les dames illustres.

315.ccxlviii Cette haine était largement partagée. Lorsque Anne perdit son fils, mort né, Louise écrivit dans son

316.journal : "Anne, Reine de France, à Blois, le jour de Sainte-Agnès, 21 de janvier, eut un fils ; mais il ne pouvait retarder l'exaltation de mon césar, car il avoit faute de vie".

317.Il y a doute sur la date de la naissance du garçon mort né de la Reine. Jusqu'à présent on a admis qu'elle se situait en 1503. P. Matarasso, en 1997, a tenté de démontrer qu'il n'y avait eu ni grossesse ni accouchement durant cette année (Voir G.MINOIS, Anne de Bretagne. Paris, 1999, 409).

318.ccxlix MORICE, II, 246.

319.ccl LEMONNIER (Henry), Charles VIII, Louis XII, François Ier. Paris, 1982, Réédition du tome V de l'histoire de France dirigée par Ernest Lavisse, page 83.

320.ccli Sur les maternités d'Anne : TOURAULT (Philippe), Anne de Bretagne, 223, 225, 293.

321.cclii C'est d'ailleurs ce qui se passa dans les faits ; voir plus loin.        .

322.ccliii TOURAULT (Philippe), Anne de Bretagne, 36, 42, 45, 51, 55, 56, 59 et suivantes.

323.MORICE, III, 442, 463, 502, 628, 629, 661, 707, 711, 715, etc…

324.ccliv Louise de Savoie, Journal : "Anne, Reine de France, alla de vie à trespas le 9 janvier 1514, et me laissa l'administration de ses biens, de sa fortune et de ses filles".

325.cclv Les témoignages des contemporains sont concordants. Le Loyal serviteur : " [elle] rendist l'âme à Dieu, qui fut domaige, non pareil dans le royaulme de France et deuil perpétuel pour les Bretons. La noblesse des deux pays fit perte inestimable, car de plus magnanyme, plus sage, plus vertueuse, plus libéralle ni plus accomplie princesse n'avoit porté couronne de France depuis qu'il y eut tiltre de

Royne. Les François et Bretons ne plaignirent pas seulement son trespas mais es Almaignes, Espaignes, Angleterre et Escosse, et en tout le reste de l'Europe fut plaincte et plorée." Fleuranges : " Ce fust une grande perte à plusieurs gens de bien" (chapitre 41, année 1514).

326.Brantôme : " Nostre Reyne Anne de Bretagne, la plus digne et honorable Reyne qui ait esté depuis la Reyne Blanche, mère du Roy Sainct Louis, si saige et si vertueuse"(Vie des dames illustres, discours premier, 1).

327.cclvi De MAULDE, Louise de Savoie et François Ier, 338.

328.cclvii Cette affaire donna lieu à une bataille diplomatique très rude. Pressé de toutes parts – et pas seulement par la France et l'Empereur – le Pape Innocent VIII finit par donner raison au Roi de France, non pas parce qu'il avait raison, mais " parce que la France est plus puissante et aussi parce que cette maison a toujours été amie et défenseur de la Sainte Eglise"(déclaration du Pape reproduite par Yvonne LABANDE-MAILFERT, Charles VIII, Paris, 1986, page 151).

329.cclviii SISMONDI, 11, 149.

330.cclix De MAULDE de la CLAVIERE, Louise de Savoie, 349 et suivantes.

331.cclx SAINT GELAIS, 137.

332.cclxi De MAULDE, 361.

333.cclxii De MAULDE, 349.

334.Sur les dépenses et le luxe de François Ier : BRANTOME, vies des hommes illustres, discours 45 sur

François Ier. De MAULDE, 343.

335.cclxiii ZELLER, Claude de France, 71, 73.

336.cclxiv Ceci est confirmé implicitement par le journal de Louise de Savoie, qui ne témoigne aucune marque d'affection à l'égard du bienfaiteur de sa famille, qu'elle traite même de "vieil et débile".

337.cclxv DE MAULDE, 350, 351, 352, 357.

338.cclxvi Dépêches de l'Ambassadeur Dandolo des 19, 21, 24 avril et des 8 et 12 mai 1514.


 

339.cclxvii Dépêche de Dandolo, 13 mai.

340.cclxviii La  VIGNE (André de), 6 et 7, cité par De Maulde, 358.

341.cclxix ZELLER, 118.

342.cclxx DANDOLO, dépêche du 18 mai.

343.cclxxi De MAULDE, 359. Sans doute le tableau est-il outré ; aucun chroniqueur du temps ne décrit un tel désespoir chez le Roi, sacrifiant sa fille à un débauché.

344.cclxxii Dépêches de Dandolo, des 1, 10, 18 juillet.

345.cclxxiii BRANTOME, Vies des femmes illustres, article 4.

346.cclxxiv Le GLAY, Négociations diplomatiques entre la France et l'Autriche … 1945, II, 53.

347.Lettre de Gattinara à Marguerite d'Autriche, en date du 14 février 1515.

348.cclxxv Le Loyal serviteur, chapitre 58.

349.cclxxvi MEZERAY, Histoire de France.

350.cclxxvii Martin du BELLAY, Mémoires, 10.

351.cclxxviii Sur la maison du Roi, la Cour, les dépenses et charges : voir Henry LEMONNIER, Charles VIII, Louis XII et François 1er. Paris, réédition de 1982, 225, 259 ; Jean JACQUART, François Ier. Paris,

1994, 355. Par rapport aux règnes précédents, les dépenses seront doublées : la taille roturière atteint 3

260 000 livres en 1535, 4 280 000 en 1538, 4 600 000 en 1543, et dépasse 5 000 000 en 1548. Sur les affaires du connétable de Bourbon et Semblançay, voir Henry LEMONNIER, 238 et 249.

352.cclxxix Louis XI et Louis XIV, entres autres, se trouvèrent dans cette situation.

353.cclxxx Trois garçons et trois filles ; Louise, née le 19 août 1515, mourut à l'âge de trois ans, le 21 septembre 1518. ; l'aîné, François, mourut en 1536 ; Henri devint Dauphin en 1536 et épousa Catherine de Médicis en 1533 ; Charles mourut en 1545 ; Madeleine épousa Jacques V d'Ecosse ; Marguerite épousa Philippe Emmanuel de Savoie en 1559 (Henry LEMONNIER, page 220).

354.cclxxxi MORICE, III, 1375.

355.cclxxxii PLANIOL, III, 19.

356.cclxxxiii En particulier, La LANDE de CALAN, Documents inédits relatifs aux Etats de Bretagne de 1491 à 1589.

357.cclxxxiv Georges PICOT, Histoire des États généraux, I, 553 : " les États du duché de Bretagne… avaient envoyé des députés pour joindre leurs plus instantes prières aux sollicitations des États de France". Picot cite une lettre du Roi Louis XII au sieur de Chièves.

358.Paul LACROIX, Louis XII et Anne de Bretagne. Paris, 1582, 335.

359.cclxxxv MORICE, III, 1372 et suivantes. Renée affirme que François Ier n'a pas pris le titre de Duc de

Bretagne avant " la requeste des Estats du pays de Bretaigne" en 1532.

360.cclxxxvi Pierre MAUCLERC, arrière petit fils du Roi de France Louis le Gros, épousa la princesse Alix de Bretagne en 1213 et usa fréquemment du titre de Duc de Bretagne. Mais les Bretons le considérèrent toujours comme un étranger.

361.cclxxxvii De MAULDE, 359.

362.B.N., Manuscrits français 26 113, 1304.

363.cclxxxviii FLEURANGES, chapitre 43.

364.cclxxxix Lors du Concile de Bâle en 1434, les Bretons furent placés immédiatement après les ambassadeurs des rois et firent reconnaître leur préséance sur les délégués du duc de Bourgogne, pourtant devenu plus puissant que la plupart des rois. Voir : H. MULLER, Un Breton dans l'Europe du XVème siècle : Philippe de Coëtquis, actes du colloque "1491, la Bretagne, terre d'Europe". Brest et Quimper, 1992.

365.ccxc ZELLER, 234.

366.ccxci MORICE, III, 1379. Quel aveu de la part de la monarchie française !

367.ccxcii A titre de curiosité, un contrat de mariage de Claude de Rieux et de la fille aînée du comte Guy XVI de Laval, conclu le 11 novembre 1518, désigne François Ier sous le titre de " Roy et duc" (BERTRAND de BROUSSILLON, IV, 56). Il apparaît encore tel, en 1521, dans l'acte par lequel Guy

XVI, alors "Grant gouverneur" de Bretagne, ordonne que la montre générale (revue) qui devait avoir lieu à Château Girons n'aurait pas lieu, par suite d'une épidémie (B.N., Manuscrit français. 22.319, 193. BERTRAND de BROUSSILLON, IV, 160).

368.ccxciii En violation des coutumes constitutionnelles multiséculaires du duché, Charles VIII avait

arbitrairement supprimé la chancellerie de Bretagne le 9 décembre 1493 et l'avait remplacée par un cour de justice. Voir : MORICE, III, 758.

369.ccxciv LE PAGE (Dominique), Philippe de Montauban, chancelier de Bretagne (1487 – 1514) in "1491,

la Bretagne terre d'Europe". Brest et Quimper, 1992, 473.

370.ccxcv LEPAGE (Dominique), Finances et politique en Bretagne. Paris, 1997, 108.

371.En 1495-1496 : 827 030 livres ; en 1502-1503 : 711 838 livres ; en 1523 : 470 521 livres.


 

372.ccxcvi FLEURANGES, Mémoires, 255.

373.ccxcvii Fleuranges fait ici allusion aux menées de Louis d'Orléans, alors héritier présomptif de la couronne de France, en vue d'épouser Anne de Bretagne, après avoir divorcé de Jeanne de France, fille

de Louis XI, afin de devenir duc à la mort de François II.

374.ccxcviii D'Argentré écrit – en 1580, soit 66 ans plus tard – que François d'Angoulême avait importuné Louis XII " de luy permettre l'administration du duché de Bretagne, de quoi il n'estoit pas bien content"(1167 et 1168).

375.ccxcix A.N., Trésor des chartes, J. 246.

376.MORICE, III, 925.

377.ccc MORICE, III, 925.

378.ccci LACROIX (Paul), Louis XII et Anne de Bretagne, 638.

379.Selon MAULDE (381), sept délégués bretons vinrent exposer leurs doléances au parlement de Paris, sous la présidence du roi (B.N. ms. fr. 26 113, 1338). François réussit à extraire 15 000 livres de la Bretagne le 24 décembre (KK 240). Après sa mission malheureuse en Bretagne, Duprat se serait retiré à Cognac, auprès de Louise de Savoie (JACQUETON, La politique extérieure de Louise de Savoie, 14).

380.cccii LOBINEAU, 838 ; MORICE, III, 925.

381.ccciii Voir les singulières et pittoresques lettres du cardinal d'Amboise alors qu'Anne est partie en Bretagne en 1505, la suppliant au nom du roi de rentrer au domicile conjugal, elle se faisant prier et ne répondant pas. MINOIS (Georges), Anne de Bretagne, 495.

382.ccciv La VIGNE (André de),

383.cccv BRANTÔME, Vies des hommes illustres, discours sixième.

384.cccvi De MAULDE, 363.

385.LACROIX (Paul), Louis XII et Anne de Bretagne, 625.

386.cccvii Cité par Paul LACROIX, 617.

387.cccviii De MAULDE, 365.

388.cccix Du MONT, IV, 195.

389.cccx Le Loyal serviteur, chapitre 59.

390.cccxi BRANTÔME, Vies des hommes illustres, chapitre VI.

391.cccxii Mémoires, année 1514.

392.cccxiii ZELLER, 148.

393.cccxiv PRADEL (Pierre), Anne de France, 1461 – 1542. Paris, 1986, 197. Anne, avec ce savoir-faire exceptionnel dont elle avait fait preuve durant la minorité de son frère Charles VIII, était chargée d'accueillir la reine et de l'initier aux us et coutumes du royaume et de la cour ; selon Pradel – qui n'avance aucune preuve – Louis XII aurait eu le projet, si un mâle était né de son union, de désigner Anne comme tutrice et régente après sa mort.

394.

395.cccxv BRANTÔME, Vies des dames illustres. article 11, page 1.

396.cccxvi B.N., ms.fr. 5 103 et 5 104.

397.De MAULDE, 379.

398.cccxvii Le Loyal serviteur, chapitre 58.

399.cccxviii LA VIGNE (André de), 13.

400.De MAULDE, 369.

401.cccxix Dandolo, cité par De MAULDE, 367.

402.cccxx Tous les chroniqueurs se rangent à la même interprétation : BRANTÔME, Discours, sixième ; FLEURANGES, chapitre 45.

403.LACROIX (Paul), Louis XII et Anne de Bretagne, 639.

404.cccxxi BRANTÔME, Vies des dames illustres, article 11 :" Il s'en fallut de peu que les deux feux ne s'assemblassent sans feu… voyant que le mystère s'en alloit jouer [on] remonstra à mondit sieur d'Angoulesme la faute qu'il alloit faire… Madame d'Angoulesme sa mère l'en réprima et tença si bien

qu'il n'y retourna plus".

405.cccxxii FLEURANGES, chapitre 46.

406.cccxxiii De MAULDE, 388.

407.cccxxiv A.N., Série J. 922, n°12.

408.cccxxv Le testament de Louis et de Marie d'Angleterre se trouve à la bibliothèque Mazarine, Manuscrit

1984

409.(2 936), catalogue II, 298.

410.cccxxvi On dit que François devenu roi écrivit sous le portrait de la reine Marie : " Plus sale que Reyne".

411.cccxxvii Sur tous ces points, voir notamment : BEAUMANOIR (Philippe de), Coutumes de Beauvaisis,

chapitres 12, 14, 15, 16, 27, 31, 33, 34.


 

412.GANAZZIGA  (Jean Louis), Introduction historique au droit des obligations, 165.

413.Pour le droit moderne, voir François TERRÉ, Droit civil, les obligations, sixième édition. Paris 1996,

267 : " Toute personne, lorsqu'elle souscrit une obligation, le fait en considération d'un certain but

L'obligation du vendeur est sans cause si le prix est dérisoire ; celle de l'acheteur est sans cause si la chose n'existe pas … l'obligation sans cause ou sur fausse cause, ou sur une cause illicite ne peut avoir aucun effet."

414.Le principe vaut également en droit international public : N. GUYEN QUOC DINH, Droit

International public, cinquième édition. Paris, 1994.

415.cccxxviii BEAUMANOIR (Philippe de), chapitre 31.

416.cccxxix MORICE, III, 940.

417.cccxxx MORICE, II, 247 ; III, 939.

418.cccxxxi Entre autres singularités, François Ier conféra à sa mère le droit de faire grâce. Sur représentation du parlement, il dut y renoncer.

419.Louise de Savoie obtient la jouissance des duchés d'Anjou et d'Angoumois, des comtés du Maine et de

Beaufort, par acte du 4 février 1515, enregistré au parlement de Paris le 12 mars 1515. A.N., Xla 8 611,

10. C.A.F., I, 13.

420.Par acte notarié, le roi fait don à Claude des duchés d'Anjou, d'Angoumois, ainsi que des comtés du

Maine et de Beaufort ; mais la reine ne pourra en jouir qu'après le décès de Louise de Savoie. A.N., J.

964, n°29. C.A.F, V, 240.

421.Claude ne jouira jamais de ces terres ni de ces seigneuries, étant décédée avant sa belle-mère. De toute manière, il ne pouvait s'agir que d'une jouissance à titre viager, la loi du royaume interdisant au roi de faire don de biens appartenant à la Couronne.

422.cccxxxii Voir plus loin.

423.cccxxxiii Pierre MAUCLERC, qui épousa la duchesse Alix de Bretagne, devint baillistre du duché au nom de son fils Jean. Lorsque celui-ci  atteignit sa majorité, Pierre regagna la France : pour les Bretons, ses fonctions avaient pris fin. Voir MONTIGNY (Jean-Loup), Essai sur les institutions du Duché de

Bretagne à l'époque de Pierre MAUCLERC, et sur la politique de ce prince (1213-1237). Paris, 1961.

424.cccxxxiv MORICE, III, 939

425.cccxxxv A.N., série J. 507. 38.

426.Traités de paix, tome 2, 56.

427.cccxxxvi M. MIGNET, Rivalité de François Ier et de Charles-Quint, 33 et suivantes.

428.LEMONNIER (Henry), Charles VIII, Louis XII et François Ier, les guerres d'Italie. Paris, 1911 et

1982, 58 et suivantes.

429.cccxxxvii De MAULDE, Louise de Savoie, 353. Il était question, aux termes d'une nouvelle négociation diplomatique, que Renée épousât le roi de Castille Charles, et qu'elle apportât en dot le duché de Milan.

430.Louis XII avait confirmé la propriété du duché de Milan à sa fille par plusieurs actes, en particulier, son testament du 31 mai 1505, Renée n'étant pas encore née. Voir SISMONDI, Histoire des français, tome

11, 15.

431.cccxxxviii MORICE, III, 939.

432.cccxxxix Pour comprendre la portée de cette singulière opération, il faut la transposer à notre époque.

Qu'on imagine la reine Elisabeth d'Angleterre, si tous ses héritiers venaient à mourir, "donnant " son royaume à son ami le Président de la République de Chine, par exemple. C'est d'une opération de cette nature qu'il s'est agi dans la "donation" faite par Claude de Bretagne à son mari François Ier de France.

433.cccxl REYDELLET (Chantal), Les pouvoirs du dauphin Henri en Bretagne (1536-1546). Mémoires

S.H.A.B, 1991, 233 à 246.

434.Jean-Alexis NÉRET, Claude de France. Paris, 1942, 191 et suivantes.

435.cccxli BRANTÔME, Vies des dames illustres, article 4.

436.cccxlii Le journal de Louise de Savoie se termine en 1522. Cette note est écrite en 1514, lors du mariage de Claude et de François.

437.cccxliii BRANTÔME, Vies des dames illustres, article 4.

438.cccxliv NÉRET, 194.

439.Voir aussi : B.N., Nouvelles acquisitions, ms.fr. 477.

440.cccxlv Bibliothèque Mazarine, Manuscrit 1984 (2 936).

441.NÉRET (Jean-Alexis), Claude de France, 191.

442.cccxlvi B. POQUET, notamment, écrit : " Le roi … avait eu soin de lui faire faire un testament qui attribuait à son fils aîné François la propriété du duché, qui aurait du revenir légalement à son deuxième fils, Henri, duc d'Orléans"; Histoire  de Bretagne, V, 11.

443.cccxlvii MORICE, III, 1035.

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